Selon une étude dont nous révélons les résultats, plus de quatre Français sur dix estiment leur activité essentielle en temps d’épidémie. Trois registres de justification émergent.
Confier le nettoyage à des sociétés tiers impacte aussi bien les conditions d’emploi des agents que la qualité du service, sans pour autant assurer les économies attendues.
Interrogeons frontalement ce que la crise fait en ce moment aux travailleur·e·s des services à la personne à domicile, et soulignons ce qui peut être concrètement fait pour les protéger.
L’espace de travail du personnel, particulièrement sexualisé, favorise les comportements connotés. Pour lutter contre le phénomène, les directions des établissements doivent redoubler d’efforts.
L’instantané de visibilité que procure la couverture médiatique sur la traite des personnes laisse largement dans l’invisibilité l’enjeu plus large et plus diffus des formes d’abus ordinaires.