Marquer qu’un espace de travail est le sien avec une plante ou des photos est un moyen de composer avec le stress généré par le bruit d’un open-space. Pourquoi donc vouloir en priver ses salariés ?
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Entre le télétravail de moins en moins populaire et les inconvénients du bureau révélés par les confinements, les tiers-lieux pourraient s’avérer un bon compromis. Ils restent néanmoins méconnus.
D’après les résultats d’une enquête menée par l’ESSEC, les Français se déclarent en grande majorité opposés au télétravail à temps plein et souhaiteraient retrouver un espace de travail attitré.
Ces dernières années, la recherche d’économies a conduit à une plus grande flexibilité des postes de travail. La crise sanitaire pourrait bien installer cette politique dans la durée.
Les débats liés à la disparition potentielle de l’open space dissimulent les véritables mutations en cours dans le monde du travail.
Top contributors
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Économiste, professeur HDR au département SEGF (Sciences économiques, Gestion, Finance), École des Ponts ParisTech (ENPC)
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Professeure associée, Directrice scientifique de la Chaire Reinventing Work, ESCP Business School
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Professeure Associée, PSB Paris School of Business
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Enseignant-chercheur en Management stratégique - Laboratoire Métis EM Normandie, EM Normandie
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Chercheuse postdoctorale à la Chaire « Workplace Management », ESSEC
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Ingénieur de Recherche, Chaire Workplace Management, ESSEC
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Associate Professor of Management, The University of Queensland
