2023, an VII de la Présidence Macron, marque un double échec : la fin de sa stratégie du « en même temps » et plus profondément, celui de la réforme du fonctionnement politique et institutionnel.
Le nouveau Premier ministre Gabriel Attal salue sa prédécesseure Elisabeth Borne lors de la cérémonie de passation à Matignon le 9 janvier 2024.
Emmanuel Dunand/AFP
Ce quatrième changement de premier ministre en six ans est un phénomène inhabituel sous la Vᵉ République. Mécanique managériale, absence de majorité et hyperprésidence : focus sur la nomination de Gabriel Attal.
La première ministre Elisabeth Borne prononce son discours de politique générale devant l'Assemblée nationale le 6 juillet 2022.
Bertrans Guay / AFP
Comment l’échec de la motion de censure va quelques jours seulement après le remaniement, légitimer le premier gouvernement minoritaire de la Vᵉ République depuis 1991.
Le jeu des chaises musicales en valait-il la chandelle ? Premier conseil des ministres le 7 juillet 2020 à l'Elysée.
Ian LANGSDON / POOL / AFP
Pourquoi tant d’émotions au sujet de ce remaniement et pourquoi avoir changé de Premier ministre ? La stratégie d’Emmanuel Macron en trois interprétations.
Le President de la République Macky Sall prononce son discours lors la cérémonie d'investiture à Diamniadio, près de Dakar.
Seyallou/AFP
Amy Niang, University of the Witwatersrand and Aboubakr Tandia, Bayreuth International Graduate School of African Studies
Au Sénégal, l’impératif de réinvention des institutions, de consolidation de la séparation des pouvoirs a très rarement commandé les réformes mises en place ces trois dernières décennies.
L'ex-ministre de la Culture, Fleur Pellerin, débarquée à la dernière minute.
Lionel Bonaventure / AFP
Ce remaniement sans changement de gouvernement est l’œuvre du seul Président qui, en lieu et place d’un cabinet de combat, se prépare pour l’échéance de 2017.
12 février, passation de pouvoirs au Quai d'Orsay entre deux anciens Premiers ministres.
Patrick Kovarik/AFP
La gauche n’a pas disparu, mais le « peuple de gauche » ne se retrouve plus dans les partis censés le représenter. Et ce n’est pas le remaniement qui va réconcilier les deux parties.