Après l’annonce, le 10 décembre, de nouvelles sanctions de l’UE contre la Turquie, il convient de saisir ce qui se passe à Chypre-Nord pour comprendre la crise en Méditerranée orientale.
L’épidémie affecte fortement la Turquie, qui a engagé des dépenses colossales pour soutenir ses entreprises, et menace les zones voisines comme le nord de la Syrie, Chypre et les îles grecques.
La pluie de critiques qui s’est abattue sur Theresa May depuis l’annonce de l’accord avec Bruxelles montre qu’à bien des égards le retrait de l’Union est quasi-impossible.
Une étude des balances des paiements au niveau mondial révèle l’ampleur des stratégies d’évitement fiscal. Ces dernières années, le rôle des paradis fiscaux semble d’ailleurs s’être renforcé.
En Afrique du Sud, le Cap redoute le « jour zéro » où la ville devra rationner drastiquement l’eau. Un phénomène qui menace d’autres villes mais pour lequel des solutions existent.
Pour surmonter les nombreuses fractures européennes et faire face au choc existentiel auquel est confrontée l’UE, une refondation ambitieuse est nécessaire.
Les Nations unies doivent prochainement publier une base de données sur les groupes privés présents dans les Territoires occupés palestiniens. Israël et les États-Unis s'y opposent.
Statut des citoyens européens, règlement financier du divorce, nouvelles frontières de l’Union : les enjeux du retrait du Royaume-Uni sont nombreux, et épineux.
Doctorant en géographie, membre de l'équipe Monde arabe et Méditerranée, UMR Citeres et membre de l'axe Migration et Mobilité de l'Institut français d'études anatoliennes à Istanbul, Université de Tours