De nombreux militants israéliens pour la paix ont été tués le 7 octobre. Aujourd’hui, c’est leur idéal même qui est à l’article de la mort.
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Articles on Hamas
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L’attention mondiale s'est reportée de l’Ukraine à Gaza. La Russie en bénéficie largement, d'autant qu'elle cherche à apparaître comme un faiseur de paix au Proche-Orient.
En se plaçant du côté d’Israël, Joe Biden s’expose à de vives critiques venant du flanc gauche de son parti, et à la perte d’un certain nombre de voix à la présidentielle qui aura lieu dans un an.
L’Iran rechigne à entrer directement en guerre contre Israël, mais mobilise volontiers les Houthis du Yémen et les milices chiites d’Irak, ainsi que le Hezbollah libanais.
Le Sinaï, région troublée par la présence de groupes islamistes, est une priorité sécuritaire et économique pour Le Caire, qui refuse la perspective d’un afflux de réfugiés en provenance de Gaza.
L'Égypte joue les équilibristes en gérant ses relations avec Israël et la Palestine.
Dans le contexte actuel, marqué par le terrible bilan humain des attaques commises le 7 octobre par le Hamas, les responsables israéliens envisagent essentiellement des issues.
En diffusant les images brutales de son opération du 7 octobre, le Hamas se rapproche du modus operandi de communication de l’État islamique. Il a bien compris leur pouvoir comme arme de guerre.
Les politiciens utilisent leurs présomptions concernant les habitants de Gaza pour appuyer leurs politiques. Mais ces derniers ont leur propre façon de voir les choses.
Une implication totale du Hezbollah dans le conflit en cours entre Israël et le Hamas ouvrirait probablement la voie à une guerre régionale.
L’assaillant arrêté à Paris le 2 décembre était pathologiquement instable et a fait référence au conflit israélo-palestinien. Il avait déjà été condamné pour terrorisme.
Pourquoi l’Égypte ne veut-elle pas ouvrir le point de passage de Rafah, entre son territoire et celui de la bande de Gaza ?
Les capacités de renseignement d’Israël sont considérées parmi les meilleures au monde, mais contrairement aux États-Unis, il n’existe pas d’organisation centrale coordonnant tous les renseignements.
Israël et la Palestine ont notamment ratifié les Conventions de Genève. Que dit le droit international de la situation d’avant l’attaque du Hamas, et que dit-il des actions des belligérants ?
Le déchaînement de violence à l’œuvre au Proche-Orient, las actes posés en tout premier lieu comme la réponse qui y est apportée, conduit inévitablement à des crimes de guerre.
L'attaque du Hamas s'appuie sur un contexte double: le désespoir palestinien et une conjoncture géopolitique opportune.
La paix entre Israéliens et Palestiniens semble désormais un mirage plus lointain que jamais.
Les manquements internes israéliens qui ont précédé la guerre de Kippour, il y a 50 ans, avaient coûté leur poste au premier ministre israélien de l’époque. L’histoire pourrait-elle se répéter ?
Les Israéliens pourraient décider de prendre militairement le contrôle de la bande de Gaza.
LA CPI a ouvert en 2021 une enquête sur les événements violents survenus en Palestine au cours des années précédentes. Deux ans plus tard, cette enquête n’a connu aucune avancée.
Top contributors
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Professeur de sociologie politique. Chercheur au Centre d’études en sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques (CESSMA), chercheur associée au Centre d'Etudes et de Recherche Moyen-Orient, Méditerranée (CERMOM) , Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
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Docteure en science politique (mention relations internationales), Sciences Po
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Professeur agrégé de Géographie, membre du laboratoire Médiations, Sorbonne Université
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Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Sciences Po
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Affiliate Researcher, The Australian Centre for Jewish Civilisation, Monash University
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Directeur de recherche émérite (CERI), Sciences Po
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Associate Professor, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
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Rosalinde and Arthur Gilbert Foundation Professor of Israel Studies, University of California, Los Angeles
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Doctorante en droit international public, Université Paris Cité
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Lecturer, Université de Strasbourg
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Psychologue clinicienne, Docteure en psychopathologie et psychanalyse, Enseignante, Chercheuse associée, Sciences Po
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Senior Associate Fellow on the Middle East at RUSI; Associate Professor in Politics & International Relations; Deputy Director of the Centre on US Politics, UCL
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Associate Professor of Practice of Public Policy, University of Michigan
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Associate Professor of Religion, Miami University
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Senior Lecturer in Peace and Conflict Studies, University of Sydney
