Si les usagers motorisés veulent utiliser des portions d’espace public à leur seul profit, il est normal qu’ils en dédommagent la collectivité.
Nolwenn Jaumouillé
Tout comme les voitures, il serait légitime que les deux-roues paient pour la place qu’ils monopolisent dans l’espace public. Cela mettrait fin à l’anarchie qui règne sur les trottoirs de la capitale.
Une femme marche entre deux motos-taxis sur une voie ferrée qui mène à la gare de Thiès.
Seyllou/AFP
Aliou Ndao, Université Gaston Berger and Jérôme Lombard, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les motos-taxis gagnent de plus en plus en popularité dans les villes secondaires du Sénégal. Ils sont, toutefois, à l’origine de nombreux accidents.
On peut réglementer les usages et les pratiques du tourisme d'aventure, en rendant les accidents exceptionnels. Mais en voulant trop réglementer l’aventure, c’est elle que l’on finit par tuer.
Shutterstock
On peut réglementer les usages et les pratiques du tourisme d'aventure, en rendant les accidents exceptionnels. Mais en voulant trop réglementer l’aventure, c’est elle que l’on finit par tuer.
La Place de l'Opéra vers 1900. Vue stéréoscopique.
Photographic Heritage
Y a-t-il décidément trop de contraintes… et de mobilier urbain dans les rues de nos grandes villes ? Plaidoyer, d’inspiration libertaire, pour une autorégulation des flux et des stationnements.