La plupart de la vie végétale a survécu à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Les plantes sont plus flexibles et s'adaptent beaucoup mieux que les animaux aux événements extérieurs.
Les plages de Normandie, le camp d'Auschwitz, Tchernobyl ou Fukushima sont des destinations pour le «tourisme noir», soit la visite de lieux marqués par la mort et la destruction.
Trente-cinq ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.
Quels sont les effets à long terme des accidents nucléaires sur la biodiversité ? Des travaux menés en Ukraine et au Japon détaillent les dommages causés aux mammifères, oiseaux et insectes.
Quelles ont été les conséquences de Tchernobyl pour la santé des populations, et tout d’abord, celles exposées aux radiations ? Le sujet fait débat mais voici ce que l’on peut en dire aujourd’hui.
S’ils ont éveillé les consciences aux dangers du nucléaire, les accidents de Tchernobyl et plus récemment de Fukushima n’ont en rien stoppé le développement de cette source d’énergie.
Dans les années 1970, la France s’engage radicalement dans la voie du nucléaire. Quatre décennies plus tard, la situation financière d’EDF inquiète et les problèmes de la filière s’accumulent.
Michel Chouha, Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)
À l’origine de l’emballement du réacteur RBMK de Tchernobyl, ses défauts de conception, en même temps que l’erreur humaine. Il y a aujourd’hui 11 RBMK en activité : sont-ils sûrs ?
Quel pays compte le plus de réacteurs ? Où se construisent les centrales de demain ? Qui domine le marché de l’électricité d’origine nucléaire ? Quelles sont les filières ? Réponses en 4 graphiques.
Sangliers, cerfs, loups et élans on été repérés en grand nombre dans la « zone d’exclusion », ces quelques 4750 km² qui environnent l'ancien site de la centrale nucléaire.
Expert à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français, représentant de l'organisme pour l'Europe de l'Est, Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay