Laure Nermel, Université de Lille - initiative d'excellence
En évitant l’écueil de la traditionnelle monographie, l’exposition se penche sur les formations, ateliers et communautés de peintres, depuis la fin de l’Ancien Régime jusqu’à la Monarchie de Juillet.
L’art de la Renaissance, sans échapper à la domination théorique et visuelle des Européens sur les peuples africains, était peut-être plus divers que l’on pourrait initialement le penser.
Les inégalités sociales peuvent se manifester fortement dans les rapports des adolescents avec l’art. Pourtant, ils ne se sentiraient pas forcément intimidés face aux toiles de grands maîtres.
Face à certains portraits peints, le spectateur a parfois le sentiment d’être regardé sans l’être. En quoi le strabisme du portrait est en réalité celui de la représentation toute entière?
Thierry Dufrêne, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Alain-Fournier et Modigliani, le Grand Meaulnes et le Petit Paysan, ce sont les pans symétriques, en littérature et en peinture, d’une même quête d’enfance.
Dans l'imaginaire collectif, Giverny, est ce village-jardin peuplé d’artistes, romantique, bucolique et un peu désuet. Mais c’est comme marque territoriale que Giverny se distingue.
Articles de presse, romans, bandes dessinées, beaux-livres, films, émissions audiovisuelles… Les jardins de Giverny alimentent sans cesse la sphère de la culture et du divertissement.
Il y a 40 ans, Pierre Soulages a créé l’Outrenoir. Ces immenses tableaux noirs nous appellent à contempler la lumière. « Seule la lumière a eu vie pleine peut-être », a écrit le poète Yves Bonnefoy.
Tourné durant l’été 1966, avec pour toile de fond la maison de Portlligat, en Espagne, « Autoportrait mou de Salvador Dali », réalisé par Jean‑Christophe Averty, est une du peintre sur le petit écran.