« Grande guerre », ou « guerre mondiale » ? Le décalage de terminologie chez les belligérants de 14-18 recouvrait une différence de vision géopolitique.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
Mauro Pimentel/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Le soir des élections en Hesse, les chefs de file des principaux partis en grande discussion à la télévision.
Oliver Dietze/AFP
Les résultats du scrutin de dimanche en Bavière témoignent de l’évolution du système partisan allemand vers le pluripartisme.
En 2010, l'Italie, tenante du titre, termine bonne dernière de son groupe derrière le Paraguay, la Slovaquie et la Nouvelle-Zélande. Vous avez dit surconfiance ?
Filippo Monteforte/AFP
Les éliminations spectaculaires des équipes ayant triomphé quatre ans plus tôt sont riches d’enseignements sur ce qu’il faut faire et ne pas faire lorsque l’on est une entreprise leader sur un marché.
Manifestation pour soutenir les opérations de secours aux migrants en Méditerranée, le 2 septembre 2018, à Berlin.
Kay Nietfeld/AFP
Julien Sellier, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
L’Allemagne, qui se considère officiellement comme un pays d’immigration, a mis en œuvre une politique d’intégration, et tente d’organiser ses relations avec les responsables du culte musulman.
Manifestation à l'appel de l'AfD à Rostock, le 22 septembre 2018.
Ralf Hirschberger /AFP
Maniant les provocations et une excellente communication politique, l’AfD pourrait, dans les prochains mois, remporter de nombreux combats électoraux au niveau local.
Horst Seehofer (ici en 2016), le leader de la CSU, allié de plus en plus encombrant d'Angela Merkel.
Andreas Khol/Flickr
Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
VW a écopé de plus de 15 milliards de dollars de pénalités aux Etats-Unis.
KDN759/Shutterstock
Le vote du 12 septembre montre certes que les démocrates existent encore en Europe. Mais il témoigne surtout des difficultés traversées par l’Union.
Le 5 juin 1967, les étudiants de la Christian-Albrechts-Universität (CAU) protestent contre la mort de leur camarade Benno Ohnesorg à Berlin.
Stadarchiv Kiel, Magnussen, Friedrich
Ismail Ferhat, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Dans l’Europe dévastée de 1945, les sociaux-démocrates sont marqués par les expériences qu’ils ont subies- d’où leurs réactions parfois hostiles à à la révolte étudiante des années 1960.
Rassemblement en faveur de l'ouverture de routes sécurisées pour les migrants, à Berlin, le 4 août 2018.
David Gannon / AFP
Bénédicte Laumond, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À quelques semaines des élections en Bavière, la stratégie populiste contestée du parti conservateur risque de profiter davantage à l’extrême droite qu’au SPD.
Jeunes Allemands dans une usine du Martin Bauer Group (phytopharmacie et tisanes) près de Nuremberg.
Campus of Excellence/Flickr
La crise grecque aurait pu être l’occasion pour les pays de la zone euro de clarifier leurs intentions sur le dessein de la monnaie unique. Malheureusement, c’est loin d’être le cas.
Une fois terminés les rituels du matin, les jeunes inscrits des “jardins d'enfants” sont libres de choisir leur activité.
Shutterstock.com
Alors que vient de se clore le congrès de l’Association des enseignants de maternelle (AGEEM), dédié cette année au jeu, regard sur un autre système éducatif, qui mise sur l’autonomie de l’enfant.
Manifestation à Augsbourg (sud de l'Allemagne), le 30 juin 2018,contre le parti d'extrême droite AfD.
Guenter Schiffmann/ AFP
Bénédicte Laumond, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Alors que l’Allemagne s’est dotée d’une politique publique luttant contre l’idéologie radicale de droite, la France a limité ces débats à l’arène politique.
Julien Sellier, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
La consommation de viande a baissé, de même que la production, tandis que la question même de l’acceptabilité de l’élevage est posée par le développement d’un fort mouvement vegan dans le pays.
Angela Merkel et Emmanuel Macron à Mesberg (Allemagne), le 19 juin 2018.
Ludovic Marin/AFP
Si rien en Europe ne peut se faire contre l’Allemagne et la France, il n’est pas assuré dans le contexte européen d’aujourd’hui que le tandem franco-allemand ait la force d’entraînement requise.
Le Président lors d'une cérémonie aux Invalides, le 11 juin 2018.
Ludovic Marin/AFP
Le pari d’Emmanuel Macron était de poser les bases d’une réconciliation fructueuse. Il est encore loin d’avoir été tenu, et l’image d’un « Président des riches » sanctionne un déséquilibre flagrant.
Le président américain sur le départ du Canada pour Singapour, le 9 juin 2018.
Saul Loeb/AFP
Au G7, Donald Trump n’a fait que pousser à l’extrême une posture américaine rétive à toute contrainte qui pourrait nuire à la sécurité, à l’identité, aux intérêts des « vrais » Américains.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay