La relation entre la conductivité et l’abondance du gobie à taches noires, espèce envahissante, et les impacts écologiques qui y sont associés, représente un outil simple d’évaluation des risques.
Plusieurs produits chimiques de la famille des retardateurs de flamme, ajoutés à une gamme de produits de consommation courante, se retrouvent dans l’environnement et contaminent la faune aquatique.
La diversité génétique est capitale pour la survie des écosystèmes. Des engagements internationaux sont plus que jamais nécessaires et maintenant réalisables pour optimiser sa protection.
Le phytoplancton est un excellent outil de suivi de la qualité de son environnement. De plus, il est nécessaire de surveiller sa croissance, car son accumulation peut être nocive ou toxique.
Aurélien Boutaud, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) and Natacha Gondran, Mines Saint-Etienne – Institut Mines-Télécom
Dépasser les limites planétaires mettra en péril l’équilibre global du système Terre. Un point de rupture dont nous approchons, en dépassant les « frontières » ouvrant sur les zones critiques.
Roberto Silvestro, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les changements climatiques modifient le calendrier des événements récurrents du cycle de vie des plantes, engendrant des conséquences critiques sur le plan écologique et économique.
La concentration de l’action mondiale sur la création d’aires protégées détourne le regard des défis essentiels à relever pour la sauvegarde de la biodiversité.
Les acteurs de la santé peuvent notamment miser sur les apports du big data et de la modélisation pour améliorer leurs capacités de prospective aux côtés des pouvoirs publics.
Depuis plusieurs décennies, cet espace est en proie à un déséquilibre anthropo-écologique, auquel s’ajoute les changements climatiques amorcés depuis le début des années 1970.
L’utilisation de l’insecticide Bti, dit « biologique » en raison de la bactérie qui le compose, soulève la controverse ici et ailleurs. Quels sont ses effets indirects sur les écosystèmes ?
Moins étudiés que ceux de la nature « extraordinaire », les écosystèmes présents dans les terres agricoles, même conventionnelles, n’en seraient pas moins dignes d’intérêt.
Faut-il élargir les droits subjectifs aux seuls animaux ou à la nature tout entière ? Les défenseurs de la cause animale estiment que l’écocentrisme juridique est fondamentalement anthropocentrique.
À l’occasion du congrès mondial de la nature, qui se tient à Marseille jusqu’au 11 septembre 2011, retour sur un des concepts récents de préservation de la biodiversité.
Directeur de recherches au CNRS en ingénierie écologique, Université d’Avignon, Institut méditerranéen de la biodiversité et d’écologie marine et continentale (IMBE), Aix-Marseille Université (AMU)
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)