Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Exploitation contestée ou clandestine, pollution environnementale, mécanisation, risques sanitaires : dans de nombreux pays, le charbon se trouve au cœur de nombreuses polémiques.
Présenté le 7 février 2019, le projet de loi énergie-climat du gouvernement français substitue la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre par la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Outre-Atlantique, la mise en place de la co-combustion dans les centrales a charbon fait son chemin. Mais les bénéfices de ce développement ne peuvent s’envisager qu’à court terme.
Essence, diesel, fioul, gaz naturel… Dans les cinq années à venir, le coût des énergies fossiles devrait connaître une hausse significative sous l’effet de l’augmentation de la taxe carbone.
Le climat que les Terriens connaîtront vers 2050 sera largement déterminé par le cumul des émissions que nous avons déjà envoyé dans l’atmosphère. Étude de trois scénarios.
Nos solutions techniques ne sont pas des solutions miracles. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’énergie et encore davantage dans celui du changement climatique.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Georgios Michas, Technological Educational Institute of Crete
La demande croissante en énergie et en minerais devrait voir augmenter le nombre de tremblements de terre induits par l’homme. Pour y faire face, une analyse des causes de cette sismicité s’impose.
Le climat de demain se décide aujourd’hui. Preuve à l’appui avec trois scénarios climatiques pour imaginer ce qui résultera de nos choix énergétiques actuels.
Benoît Leguet, Agence française de développement (AFD)
Ce lundi 6 novembre s’ouvre à Bonn la nouvelle conférence climat organisée par les Nations unies. L’occasion de faire le point sur les nouveaux acteurs de la gouvernance climatique.
Le cœur du problème de la transition énergétique, ce sont les émissions de CO₂, pas l’utilisation des énergies fossiles. C’est pour cela qu’il faut s’intéresser au captage et au stockage du carbone.
Quelles sont les motivations de l’achat de Maersk Oil pour Total dans le contexte actuel avec un baril de pétrole évoluant autour des 50 dollars ? Analyse financière et stratégique.
Réunis fin mai à Vienne, les membres de l’OPEP ont tenté à nouveau de soutenir les prix du pétrole. Mais l’offre américaine et une situation géopolitique mondiale confuse compliquent ces efforts.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay