Martin Chadoin, Université du Québec à Montréal (UQAM) and Elise Ledoux, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Le télétravail n’est pas qu’une rupture du cadre de travail classique, c’est une transformation radicale de la nature même du travail. Les entreprises devront en tenir compte pour s’adapter.
L’Union européenne a proposé en mars dernier de rendre juridiquement contraignantes des mesures qui ont fait leurs preuves, même si, seules, celles-ci ne lèveraient pas toutes les barrières.
Le statut apparu avec la loi Pacte donnerait aux entreprises un rôle politique qu’elles ne devraient pas avoir, leur vocation sociale étant avant tout de réaliser des profits… et de payer des impôts !
Les grandes entreprises ont plus de facilité que les plus petites à atteindre la parité hommes-femmes sur leur conseil d’administration. Et celles qui se dotent de cibles précises font mieux.
Un bilan de la réforme de l’imposition des entreprises de 2011 montre que la défiscalisation des dividendes augmente la valorisation des sociétés mais n’a pas d’effet sur l’investissement.
Les données disponibles sur les réseaux sociaux peuvent permettre aux clubs de distinguer les fans qui peuvent revenir d’eux-mêmes de ceux vers lesquels diriger les efforts de communication.
Florian Léon, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF)
Le communiqué final du sommet sur le financement des économies africaines traduit une prise de conscience des obstacles aux financements des entreprises dans les pays en développement.
Une étude menée auprès de commerciaux montre qu’une interprétation correcte des signaux de non-satisfaction des collaborateurs devient un levier clé de motivation.
Selon une étude, une bonne réputation de l’acquéreur peut favoriser la prise de risque tout comme elle peut conduire à une plus grande prudence dans ce type d’opération.
Un livre récemment publié aux Éditions Maxima propose aux entreprises de mettre en place des politiques de ressources humaines mieux ciblées. Extraits.
Une étude révèle que la réponse aux exigences du gouvernement demeure la motivation principale des entreprises lorsqu’elles déploient le travail à distance.
Des entreprises qui se classent bien sur certaines listes évaluant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), arrivent en bas d’autres listes. À quels classements se fier ?
Le digital réduit les discussions à un marchandage permanent. La prise en compte des « invisibles » dans la négociation permettrait notamment de revisiter avec audace les accords « gagnant-gagnant ».
Présenter les politiques climatiques aux actionnaires, à l’image des justifications sur les rémunérations des dirigeants, se heurterait à des limites comme le risque de manipulation de l’information.
Les changements soudains de gouvernement ont davantage pesé sur la performance financière des filiales de groupes familiaux que sur celles des entreprises autonomes.
Dans un contexte où les disruptions potentielles sont permanentes, ces « chefs d’orchestre » jouent un rôle essentiel qui doit désormais s’adapter au type de structure dans laquelle ils évoluent.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)