À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
La loi québécoise ne permet pas les demandes anticipées d’aide médicale à mourir. Mais cela pourrait changer rapidement. Des pays l’appliquent déjà. Comment encadrent-ils cette pratique ?
La santé mentale des jeunes filles est précaire. Normes de beauté irréalistes et pression des médiaux sociaux sont en cause, mais aussi, le fait qu’elles ne sont écoutées ou prises au sérieux.
Notre première série sur la « fin de vie » s’inscrit dans les débats qui agitent en ce moment la convention citoyenne. Derrière cette expression et son éventuel prolongement législatif, des propositions – suicide assisté, euthanasie, mort choisie – mais aussi des réalités difficiles à appréhender comme celle de la souffrance morale des personnes âgées.
Même si le droit à la fin de vie devenait une réalité juridique, d’autres défis à son application demeurent. Focus sur les directives anticipées : pourquoi sont-elles peu opérantes ?
Contrairement au premier procès, les ex-dirigeants en poste au moment de la vague de suicides dans les années 2000 ont montré leurs émotions devant la cour d’appel.
La question du mal-être étudiant fait l’actualité mais ne prend pas toujours en compte les spécificités du secteur médical. Une étude apporte enfin des données précises. Et elles sont inquiétantes.
Souffrance psychologique et risques liés au burn-out chez les médecins de ville ne sont pas un phénomène nouveau. Mais le Covid l’a amplifié au point qu’il atteint désormais une ampleur inquiétante.
Les attentes de la société lors d’un deuil diffèrent s’il s’agit d’un homme ou d’une femme qui le vivent. Les hommes doivent être forts, peu émotifs et ils ne doivent pas montrer leur vulnérabilité.
Pierre Chaudat, Université Clermont Auvergne (UCA); Dany Gaillon, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), and Thierno Bah, Université de Rouen Normandie
Dépendance aux aides financières, poids des normes et de l’administration mais aussi isolement et sentiment de ne pas être compris alimentent le mal-être du monde paysan.
La santé psychique des jeunes s’est dégradée au cours de la pandémie, en témoigne l’augmentation des admissions aux urgences pédopsychiatriques. Comment les parents peuvent-ils aider leurs ados ?
Eve Pouliot, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Danielle Maltais, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les jeunes sont beaucoup moins à risque de mourir de la Covid-19, mais ils peuvent craindre pour leur santé ou celle de leurs proches, ce qui peut exacerber un état d’anxiété préexistant.
Thomas Fovet, Centre hospitalier régional universitaire de Lille and Pierre Thomas, Centre hospitalier régional universitaire de Lille
En moyenne, les troubles psychiatriques sont trois fois plus fréquents chez les personnes admises en prison qu’en population générale. D'où la nécessité de soins de qualité, et d'un suivi à la sortie.
Les taux élevés de maladies mentales chez les jeunes montrent l’urgence de mettre en place des soins de santé mentale accessibles, abordables et soutenus par la recherche.
Les photographies récemment publiées de Yukio Mishima, prises au cours de ses dernières semaines, montrent un artiste obsédé par la mise en scène de la mort.
Professeur de Gestion des Ressources Humaines, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Economique à Grenoble Ecole de Management, Grenoble École de Management (GEM)