Si en journée le ciel est souvent bleu clair, au crépuscule ou durant la nuit il s’habille de différentes couleurs. Comment la science explique-t-elle ces changements ?
Le système planétaire Trappist-1, avec ses sept petites planètes, est une des cibles de choix du nouveau télescope Webb. Ici, deux des planètes sont vues en transit devant leur étoile, l'occasion d'en apprendre plus sur elles.
NASA/JPL-Caltech
Mettre au point une toute nouvelle expérience pour analyser des mélanges de gaz en collaboration avec des chercheurs chinois pendant la période de pandémie n’a pas été une sinécure !
La calotte polaire nord de Mars photographiée par la mission NASA Mars Reconnaissance Orbiter.
NASA/JPL-Caltech/MSSS
Franck Montmessin, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Des résultats récents permettent de comprendre comment l’eau disparaît de la planète rouge. Un potentiel climat chaud et humide dans le passé aurait pu favoriser l’apparition de la vie.
L’air intérieur est souvent de plus piètre qualité que l’air extérieur.
izf, shutterstock
David Mimoun, Centre national d’études spatiales (CNES)
Le rover Perseverance contient un microphone, qui va permettre d’acquérir des données scientifiques et de veiller au bon fonctionnement du rover.
Mesurer la pollution, alors que les sources bougent et que la météo change, n’est pas une mince affaire. Carte participative de la pollution aux particules fines (PM 10) réalisée à Rennes dans le cadre de l’opération de mesure citoyenne Ambassad’Air.
WikiRennes
La formation des utilisateurs de microcapteurs citoyens et l’expérimentation sont au cœur de projets participatifs, entre science de l’atmosphère, des capteurs, et méthode scientifique.
Une aurore vue depuis Skibotn, en Norvège, en mars 2017.
Thierry Sequies (CSUG/UGA)
Lumières enchanteresses ou de mauvais augure, elles font partie des mythes et de l’identité des régions polaires. Qu’apprennent-elles aux scientifiques de nos jours ?
Le groupe de travail Lidar navette, NASA Langley Research Center, 1978. Marie-Lise est au premier rang.
Edward V. Browell/NASA
Portrait d’une figure scientifique qui a joué et joue encore, du haut de ses 86 ans, un rôle essentiel en aéronomie.
Les stations fixes de mesure de la pollution urbaine donnent des valeurs moyennes ou extrapolées, pour les zones où elles ne sont pas installées.
Nathan Dumlao / Unsplash
La pollution de l’air est mesurée par un vaste réseau de surveillance, auquel s’ajoutent désormais des capteurs individuels commerciaux ou citoyens. Quelle est leur fiabilité ?
Parties de la région de Sydney, les fumées australiennes sont passées par l’Amérique du Sud, survolant l’Antarctique avant de revenir dans leur zone d’émission.
Les observations réalisées dans l’atmosphère permettent le suivi des dérèglements climatiques.
ESA
Cette question directe et efficace mérite qu'on s'y attarde afin de comprendre l'histoire du changement climatique et de trouver les solutions pour le contrer.
Qu’ils soient stratus, strato-cumulus ou cumulus, leur influence sur le climat est cruciale. Mais prédire leur réponse au réchauffement climatique s’avère un véritable casse-tête.
Professeur, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE), membre de l’Institut Universitaire de France, auteur contributif d’un chapitre des deux derniers rapports du GIEC, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Enseignant-chercheur, Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay