Les orages provoqués par les feux de forêt sont plus fréquents qu’on ne le pensait, comme le montrent désormais les images et les données satellitaires à haute résolution.
Après une année record pour les températures mondiales à cause d’El Niño, La Niña apportera-t-elle un peu de répit ? Cela dépend de l’endroit où vous vivez, et de si vous aimez les ouragans.
Bernard Deschamps, Université du Québec à Montréal (UQAM) y Michel Leclerc, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Québec se prépare à publier une nouvelle cartographie des zones inondables. Ses conséquences seront majeures pour les résidents et les municipalités visés. Des solutions permettraient de les atténuer.
Maxence Soubeyrand, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) y Fabio Gennaretti, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Des recherches montrent que la distribution des feuillus tempérés (érable à sucre, érable rouge et bouleau jaune) pourrait se décaler vers le nord, entraînant de lourdes conséquences sur la forêt boréale.
Dorian M. Gaboriau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Jonathan Lesven, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) y Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les feux de forêt de l’été 2023 au Québec ont été très impressionnants – et ravageurs. Il s’agit même de la pire année depuis 50 ans. Et avec les changements climatiques, le pire semble à venir.
Les maladies transmises par les moustiques progressent sous l’influence du climat. Des analyses statistiques poussées des données épidémiologiques permettraient de mieux prévoir les flambées.
De nouvelles recherches doivent être menées afin de quantifier adéquatement les coûts de la chaleur extrême afin de réduire ses effets délétères actuels et futurs.
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) y Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
Les rivières atmosphériques participent au cycle de l’eau et provoquent des précipitations intenses. Bien connues à nos latitudes, elles affectent aussi les pôles.
Avec des tempêtes plus fréquentes et plus dures, l’adaptation au changement climatique passe aussi par la construction de structures résistantes à la pression des vagues.
Le changement climatique en Polynésie française se mesure grâce à des séries de données récoltées depuis 50 ans, mais la spécificité culturelle des îles et leur morphologie compliquent les prévisions.
La vague de chaleur actuelle n’est pas anormale par rapport aux températures usuelles. Les suivantes risquent d’être plus intenses encore, alors que les populations sont déjà vulnérables.
La « mauvaise » saison revient, avec son cortège de nez qui coulent… et de remèdes pour y échapper. Quel est l’effet réel d’un coup de froid ? Des vitamines ? Deux experts font la part des choses.