Et si l’on se passait de sommeil sans que cela nuise à nos capacités cognitives ? Cela paraît fou… L’étude d’une étrange maladie auto-immune pointe pourtant quelques pistes.
Plutôt que de travailler cinq heures d’affilée, retenez que vous pourriez être davantage efficace en travaillant quatre heures, avec des courtes pauses où l’esprit vagabonde…
Sommeil et mémoire sont liés, nous le savons tous. Mais dormir nous sert-il à nous souvenir, ou bien à oublier ? Il semblerait que cela soit les deux, alternativement…
Des centaines de milliers de Français souffrent de fatigue cognitive.
Varvara/Flickr
Vous avez dit hypnose ? Cet état de « transe » imposé permet d’obtenir d’un sujet qu’il se conforme aux suggestions, indépendamment de leur véracité (par exemple, pour atténuer la douleur).
En étudiant le sommeil des animaux, nous pouvons comprendre comment améliorer le sommeil chez l’homme, mais aussi ajuster nos stratégies de protection des espèces menacées.
Diffusion dans l’atmosphère de l’éclairage artificiel généré par la ville de Lourdes.
Samuel Challéat (2016)
Alors que trois associations ont décidé le 13 avril dernier d’attaquer l’État pour son inaction à combattre la pollution lumineuse, retour sur ces nuisances et leurs multiples effets.
Sieste dans la salle d'attente de l'entreprise.
Fabio/Flickr
Mieux vaut ne pas jouer avec la qualité du sommeil… Son rôle primordial dans notre bien-être psychique et physique a été sous-estimé. Or il pourrait nous protéger de la dépression.
C’est un aspect troublant de l’expérience onirique : certains rêves sont dits lucides car ils peuvent être manipulés par le dormeur. Un état hybride qui pourrait révéler la mystérieuse conscience.
Après le repas, une envie irrépressible de fermer les yeux…
Dave Chiu/flickr
Pourquoi nos yeux roulent-ils dans leurs orbites durant notre sommeil alors même que nos paupières sont closes ? Peut-être parce qu’ils explorent la scène de nos rêves.
Endormis, nous accomplissions des tâches de façon inconsciente.
Vera Kratochvil/Pixabay
Pendant que nous dormons, notre cerveau reste actif. Il est capable de traiter une information complexe, par exemple de classer des mots comme le montrent des expériences réalisées pour cette étude.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Docteur en Psychologie du développement, de l'enfant et de l'adolescent, ingénieur de recherche INSERM, Laboratoire de psychologie et neurocognition (LPNC, CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)