Les larves de crabes, oursins et autres araignées, se dispersent au gré des courants, ce qui conditionne leur survie… et la gestion des ressources halieutiques.
Comment reconstituer les systèmes de pêche polynésiens aux temps anciens ? L’archéologie du poisson s’associe à la biologie marine et à l’ethnographie pour apporter des réponses.
Pour évaluer la biodiversité marine, une nouvelle approche, basée sur l’ADN environnemental, cet ADN que laissent les espèces dans leur milieu, semble très prometteuse.
Les lipides issus du milieu marin se révèlent prometteurs contre les cancers. Soit en prévention à l’image des oméga-3 présents dans certains aliments (sardines, maquereaux…). Soit pour développer des agents thérapeutiques.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
Comprendre l’évolution de nos relations aux milieux aquatiques et aux espèces qui les peuplent est un enjeu majeur pour leur conservation. Pour y parvenir, l’art nous fournit quelques clés.
Les Canadiens connaissent bien les hivers froids où tout semble être gelé dans la nature. Toutefois, plusieurs animaux demeurent actifs en hiver, même sous la couverture de glace des lacs.
De nombreux poissons sauvages du Québec ont des parasites. Est-ce nécessairement une mauvaise chose ? Comment peut-on limiter la prolifération et la propagation de certains parasites néfastes ?
Valérie S. Langlois, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Julien Gigault, Université Laval; Raphaël Lavoie, Institut national de la recherche scientifique (INRS) et To Tuan Anh, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
Sortir de la pêche industrielle requiert de repenser complètement la chaine de valeur, du pêcheur à la distribution. Cela nécessite aussi de nouvelles formes de coopération entre les acteurs.
Cette pelote, constituée des restes de proies non digérés par un cormoran, contient de précieuses données que les biologistes qui les ramassent utilisent pour suivre la biodiversité marine.
On prête de nombreux bienfaits à l’huile de poisson, qu’il s’agisse de renforcer notre santé cardiaque, de protéger notre cerveau ou de soulager l’arthrite. Voici ce qu’en dit la science.