Manque de sommeil et couchers tardifs modifient une région du cerveau impliquée dans la gestion du stress et des émotions, ce qui peut avoir des conséquences à long terme.
Nous disposons désormais de la technologie et des connaissances nécessaires pour réaliser des expériences de rêve en temps réel avec des participants endormis.
Le rêve diffère d’une culture à l’autre, et ces différences pourraient permettre de comprendre comment et pourquoi le rêve a évolué chez l’humain et chez d’autres espèces.
Des travaux de recherche suggèrent que, lorsqu’on prend de l’âge, s’exposer davantage à la lumière naturelle aide à limiter les troubles du sommeil. Des résultats à appliquer, par exemple, en Ehpad.
Le sommeil semble jouer un rôle essentiel dans plusieurs fonctions cérébrales, comme la mémoire. Un sommeil de bonne qualité pourrait donc jouer un rôle primordial dans la prévention de la démence.
Les risques de démence liés au mode de vie sont complexes. Des facteurs tels que le sommeil, l’exercice et l’alimentation interagissent avec la réserve cognitive, la neuroplasticité et l’inflammation.
Les rêves font fonctionner notre cerveau. Ils nettoient les pensées des événements de la journée. Ils peuvent même nous aider à imaginer ce qui est possible pendant nos heures de veille.
Accéder aux rêves des autres, un fantasme de science-fiction ? Pas si sûr : des scientifiques sont récemment parvenus à communiquer avec des dormeurs. Un pas de plus vers l’obtention de la clé des songes…
Une étude révèle que les industriels affichent fréquemment sur les paquets de couches des images de bébés endormis qui ne respectent pas les recommandations pour prévenir la mort subite du nourrisson.
La présence attentive, à travers la méditation d’attention focalisée, peut aider à surmonter les pensées négatives répétitives, améliorant ainsi la santé mentale et physique.
Une méta-analyse récente révèle que, chez les adultes âgés de 18 à 60 ans, une durée de sommeil inférieure à six heures par nuit est associée à une forte diminution de la réponse à la vaccination.
Quel que soit l’âge, les écrans sont omniprésents dans les soirées des enfants et adolescents. Mais à mesure qu’ils grandissent, les smartphones l’emportent sur la télévision.
Une nouvelle étude révèle que les personnes d’âge moyen qui font des cauchemars chaque semaine sont quatre fois plus susceptibles de connaître un déclin cognitif.
Le sommeil est important pour la santé, mais l'accent mis sur la nécessité de dormir suffisamment et sur le suivi des habitudes nocturnes pourrait en dégrader la qualité chez certaines personnes.
La plupart des gens dorment sur le côté. C’est une bonne nouvelle, car ceux qui dorment sur le dos sont plus susceptibles de mal dormir ou d’avoir des difficultés respiratoires la nuit.
Nombre de personnes âgées vous le diront : quand on vieillit, notre relation au sommeil change, et pas pour le meilleur. Nos nuits se font plus fragmentées, moins récupératrices. Peut-on y remédier ?
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Docteur en Psychologie du développement, de l'enfant et de l'adolescent, ingénieur de recherche INSERM, Laboratoire de psychologie et neurocognition (LPNC, CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)