Hervé Brédif, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Laurent Simon, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Face à l’érosion de la biodiversité mondiale, l’accord signé à Montréal en décembre 2022 fixe des objectifs trop généraux et ne s’apparente pas à une authentique stratégie.
Dans de nombreux cas, la philanthropie sert aux entreprises à « réparer », dans des conditions qu’ils définissent eux-mêmes, les dégâts qu’ils causent par ailleurs.
Lors de la COP15, les entreprises ont réclamé un engagement politique fort, avec l’adoption d’un cadre ambitieux, aux objectifs mesurables. Mais leur engagement n’est pas sans soulever des questions.
Si l’appel à « bifurquer » lancé par des anciens d’AgroParisTech a marqué les esprits, il s’inscrit dans une lignée de discours de jeunes diplômés appelant au décentrement des sciences.
Menace du « jour zéro » en Afrique du Sud, pluies extrêmes au Pakistan, étés toujours plus secs en Europe. Modéliser les aléas climatiques est essentiel pour s'adapter. On vous explique comment.
L’action militante de « Just Stop Oil » à la National Gallery résonne avec l’histoire artistique de la performance, qui a mis en avant la tension entre l’art et le vivant.
Navires à l’empreinte environnementale réduite, collaboration avec les scientifiques… Les opérateurs adaptent leur offre tandis que la demande augmente.
En transformant sa gouvernance au profit de l’environnement, Patagonia poursuit la voie empruntée par les fondations d’entreprises européennes. Mais sa proposition reste anecdotique en Amérique du Nord.
Les images évoquées par le réchauffement global des températures sont souvent celles de la fonte des calottes glaciaires. Mais un autre phénomène est aussi en marche : la redistribution du vivant.
La transition des modèles d’enseignement demande un réel changement de paradigme, basé certes sur de nouvelles compétences, mais aussi sur une transformation profonde des narrations et des symboles.
Thibaut Faucon, Ademe (Agence de la transition écologique)
La low-tech dépasse la seule question de l’intensité et de la complexité technologique. Elle doit aussi s’inscrire dans un discernement à l’échelle de la société vis-à-vis de nos besoins.
Les différentes études font état d’une augmentation à venir des indemnités versées située dans une fourchette d’un à quatre milliards par an d’ici 2050.
La réponse est plutôt oui, mais en majorité à condition qu’ils restent conducteurs du véhicule, d’après une étude. La ressource rare semble ainsi être les passagers.
À l’heure actuelle, le lien entre l’éducation de la petite enfance et la durabilité nécessite beaucoup plus de financement, de bourses académiques et d’actions.
Le transport maritime sur le Saint-Laurent est en cours d'adaptation au changement climatique en adoptant des technologique intelligentes, durables et en se décarbonisant.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professeur des Universités en économie, Université Sorbonne Paris Nord, Chaire « Énergie et Prospérité, Chaire Economie du Climat, Université Sorbonne Paris Nord