Cette photographie aérienne, prise le 30 septembre 2019 dans le parc national de Kahuzi-Biega, au nord-est de la République démocratique du Congo, montre une zone dévastée par l’exploitation forestière.
Alexis Huguet / AFP
Dans la région de la réserve de biosphère de Luki, les comportements alimentaires se sont profondément transformés depuis la fin des années 1970.
L’équipe de l’école de médecine de l'université du Maryland, à Baltimore (États-Unis), implante un cœur de cochon génétiquement dans la poitrine de David Bennett, 57 ans.
École de médecine de l'université du Maryland
La greffe d’un cœur de cochon dans une poitrine humaine est une prouesse biomédicale. Mais ce geste qui brouille les limites interespèces pose la question de l’accompagnement éthique des innovations.
Mariana Lamas, Northern Alberta Institute of Technology
La « viande végétale » remplacera-t-elle le steak demain ? Les scientifiques arrivent de mieux en mieux à imiter texture, goût… Au point parfois de réussir à tromper les amateurs de viande eux-mêmes
Le marché des « protéines alternatives » est en plein développement.
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La consommation de viande, qui connaît une croissance au niveau mondial, soulève nombre de questions environnementales et éthiques, boostant les offres alternatives.
Un scientifique en train d'observer un échantillon de viande artificielle.
SeventyFour
Dans le podcast Zootopique, nous vous proposons une immersion en 2031 pour interroger nos relations avec les animaux… et les produits d'origine animale.
On a associé l’équivalent d’une tranche de bacon à une augmentation de 44 % du risque de démence.
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Une consommation élevée de viandes hautement transformées peut simplement être représentative d’un mode de vie moins sain dans l’ensemble, ce qui augmente les risques d’Alzheimer.
Des vétérinaires identifient un animal victime de la peste porcine africaine dans une ferme à Hanoï (Vietnam), en mai 2019.
Manan VATSYAYANA / AFP
Le porc fait partie des potentielles espèces ayant pu servir d’hôte intermédiaire dans l’évolution d’un coronavirus de chauves-souris vers le virus responsable de la Covid-19.
De plus en plus de personnes deviennent végétariennes.
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Irène Margaritis, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
De plus en plus de personnes deviennent végétariennes ou végétaliennes, mais y a-t-il des risques à se priver de certains aliments ?
Le sulfure d’hydrogène est un gaz toxique malodorant, mais il présente des avantages pour la santé lorsqu’il est libéré en petites quantités dans l’organisme. C’est pourquoi manger plus de protéines végétales est lié à une meilleure espérance de vie.
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Un gaz malodorant et toxique joue un rôle important sur la longévité, selon de nouvelles recherches. Manger moins de viande pourrait être la clé pour profiter de ses effets bénéfiques sur la santé.
Des légumes, des fruits, des céréales complètes, des noix, des graines et des légumineuses constituent des aliments excellents pour la santé. Mais certains produits dérivés des plantes, qui remplacent la viande, ne sont pas tous sains.
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Mariana Lamas, Northern Alberta Institute of Technology
Les régimes alimentaires à base de plantes peuvent être sains, mais attention aux ingrédients. Les substituts de viande fortement transformés peuvent être riches en graisses saturées et en sodium.
Peintures rupestres de la région de Tadrart Acacus en Libye datées entre 12 000 avant J.-C. à 100 après J.-C.
Tomer T/Wikipedia
Raphaël Hanon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les scientifiques ont longtemps pensé que la chasse était à l’origine du développement de notre cerveau. En réalité, les causes semblent être beaucoup plus variées.
Il est désormais possible de « cultiver » de la viande en laboratoire.
HO / MAASTRICHT UNIVERSITY / AFP
Nombre d’innovations émergent aujourd’hui dans nos systèmes alimentaires. Elles sont susceptibles de bousculer des pans entiers de l’agriculture telle que nous la connaissons.
Plateau de charcuterie.
Jess May Russell / Unsplash
Pour la première fois, cette étude montre que les lipides retrouvés dans la circulation après la digestion d’un repas peuvent agir directement sur les neurones du « système de la récompense ».
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)