Selon une étude, les individus qui mettent en avant leurs efforts dans leur consommation restent globalement perçus comme « intégristes », « ermites », « rabat-joie » ou encore « snobs ».
Une enquête unique sur les stéréotypes et les discriminations dans le monde des entreprises révèle de grandes disparités entre les hommes et les femmes.
Connaissez-vous l’orientalisme ? Ce courant artistique a construit une image de l’Orient bien différente de la réalité basée sur la vision de l’artiste occidental.
Dans la littérature de jeunesse, les mères sont souvent cantonnées à des rôles de femmes au foyer, anonymes – à moins qu’elles ne soient des sorcières ou de méchantes reines.
Les 18-34 ans n’ont guère une vision positive du recrutement. Ils appréhendent de plus en plus le processus d’entrée sur un marché du travail qui les catégorise de façon souvent superficielle.
Trop peu de femmes atteignent les plus hauts échelons des organisations. Des politiques proactives des gouvernements et des autorités réglementaires sont nécessaires si l’on veut une équité.
Les stéréotypes de genre mettent les non-diplômées à la marge de postes que l’on considère comme masculins et les poussent vers des postes où l’attente en matière de diplômes est plus importante.
Si la littérature « young adult » met désormais en avant des personnages de jeunes femmes fortes et indépendantes, elle continue à se fonder sur des schémas amoureux très classiques.
Le pays d’origine d’une entreprise véhicule un certain nombre de stéréotypes, qui nous conduisent à être plus ou moins tolérants avec celle-ci lorsqu’elle est touchée par un scandale.
Le consommateur, masculin notamment, préfèrera voir un homme sur une boîte de Monopoly. Cependant, le slogan accompagnant le personnage peut permettre de contrer les préjugés.
Lors de leurs séjours, les visiteurs homosexuels témoignent d’une double discrimination liée à culture hétéro-dominante mais aussi à la communauté gay elle-même.
Si plus de 50 % des élèves souhaitent plus d’heures de cours d’EPS, d’autres redoutent de se trouver confrontés au regard des autres sur leur apparence physique. Éclairages.
La réouverture des bars et terrasses réactive la vie sociale mais aussi la crainte d’une forte alcoolisation de la jeunesse : or la recherche montre que celle-ci est plus responsable que l’on croit.
Une récente décision du Parlement gambien sur la question des produits dépigmentants invite à s’interroger sur cette pratique encore très répandue en Afrique, mais aussi dans les Caraïbes et en Asie.
Si l’on souligne souvent la bonne réussite scolaire des filles, le fonctionnement structurel de l’institution favorise de manière plus détournée une compétition qui profite plus aux garçons.
À rebours de la décision du groupe Hasbro de dégenrer son célèbre jouet, certaines marques utilisent (avec succès) des valeurs perçues comme masculines ou féminines pour séduire leur clientèle.
La décision du fabricant de jouets Hasbro de renommer sa marque « Tête de Patate » intervient dans un contexte de communication féministe qui peut parfois apparaître schizophrène…
Marie Bergström, Ined (Institut national d'études démographiques) and Géraldine Vivier, Ined (Institut national d'études démographiques)
Vivre célibataire, une angoisse pour certains, un choix pour d’autres. Les Bridget Jones d’aujourd’hui bousculent nos idées reçues et restituent au phénomène du célibat son entièreté.