Le comportement reproductif de certaines fourmis — partenaires multiples, constitution d’une spermathèque, descendance fertile — peut-il favoriser le succès d’une espèce ?
Le prix Nobel de chimie 2020 a été attribué à la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna pour leurs travaux sur les ciseaux moléculaires.
Les virus mutent à un rythme plus ou moins important. Ces modifications leur permettent parfois d'infecter de nouveaux êtres vivants, puis de s'y adapter. Que sait-on de celles du SARS-CoV-2 ?
Dans un monde qui a soif de science et de données probantes pour éclairer la prise de décision, la ligne entre cause et association est plus que jamais difficile à tracer.
Dans certaines conditions nos cellules doivent se sacrifier pour la bonne fonction de l’organisme. De nouveaux résultats montrent l’implication d’un récepteur régulant l’équilibre survie/mort.
Des chercheurs ont découvert que des variations dans les gènes qui codent certaines parties du système d'alarme cellulaire pourraient jouer un rôle dans la manière dont les gens combattent la Covid-19
Deux types de tests sont utilisés pour lutter contre le Covid-19, avec des objectifs distincts : identifier les personnes porteuses et celles ayant développé une réponse immunitaire.
Des virus découverts chez des chauves-souris et les pangolins suggèrent que ces animaux ont joué un rôle clé dans l’émergence du Covid-19. Mais où et comment le patient zéro a-t-il pu être contaminé ?
Avant d’en arriver à un éventuel déconfinement, il faudra encore répondre à de nombreuses questions. Une chose est sure, seul un vaccin permettra de tenir en respect le SARS-CoV-2. Où en est-on ?
La théorie complotiste de la création d’un virus en laboratoire puis libéré dans la nature a été beaucoup relayée. Rien ne corrobore cette hypothèse mais on peut expliquer pourquoi elle prospère.
Le virus SARS-CoV-2 responsable de la pandémie de Covid-19 fait l’objet de nombreuses analyses génétiques partout dans le monde pour comprendre son origine et son évolution.
Le séquençage de l'ADN des personnes infectées par la coronavirus pourrait permettre de déterminer qui sont les plus à risque de développer des symptômes graves.
Dans une série documentaire récemment diffusée sur les écrans, l’ADN est présenté comme un texte où il suffit de copier-couper-coller pour agir sur les gènes. La réalité n’est-elle pas plus complexe ?
Chercheur au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Professeur titulaire au Département de médecine, Université Laval
Maître de Conférences (HDR) à Sorbonne Université, ISYEB - Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (CNRS, MNHN, SU, EPHE, UA), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)