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Articles on FPÖ (Autriche)

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Heinz-Christian Strache (à gauche), à l’époque vice-chancelier de l’Autriche et président du FPÖ, avec le premier ministre hongrois Viktor Orban à Budapest, le 6 mai 2019. Attila Kisbenedek

L’extrême droite autrichienne, soutien indéfectible de la Hongrie de Viktor Orban

Tandis que les 27 remettent en question la place de la Hongrie au sein de l’UE, le FPÖ autrichien, parti d’extrême droite, ne cesse d’afficher son soutien au gouvernement hongrois de Viktor Orban.
Herbert Kickl, le leader du FPÖ, a quelques bonnes raisons de croire à ses chances de devenir, après les législatives qui se tiendront en 2024, le premier chancelier autrichien issu de ce parti d’extrême droite. Joe Klamar/AFP

Autriche : l’extrême droite bientôt de retour au pouvoir ?

Le Parti de la liberté de l’Autriche (FPÖ), classé à l’extrême droite, ne participe plus au gouvernement depuis quatre ans, mais pourrait bien remporter les prochaines législatives…
Giorgia Meloni (à gauche) accueillie par la présidente du Parlement européen, la Maltaise Roberta Metsola (Parti populaire européen, PPE), à Bruxelles, le 3 novembre 2022. Valeria Mongelli/AFP

L’extrême droite au Parlement européen, ou le renard dans le poulailler

Au Parlement européen, les divers partis d’extrême droite font désormais partie intégrante du paysage.
Marine Le Pen et Jordan Bardella (RN) lors du traditionnel hommage à Jeanne d'Arc devant sa statue à Paris le 1er mai 2020. coronavirus). Alain JOCARD / AFP

Comment la crise souligne les faiblesses des extrêmes

En dépit des apparences, la montée en puissance de nombreuses thématiques chères aux partis d’extrême droite ou gauche ne semble pas leur bénéficier particulièrement en temps de crise.
Norbert Hofer, candidat adoubé par le FPÖ et ex-ministre des transports autrichiens pose avec des prototypes chinois lors d'un salon de la mobilité urbaine à Vienne le 4 avril 2019. ALEX HALADA / AFP

Norbert Hofer : le candidat de l’extrême droite autrichienne voit vert

La nouvelle tête de liste du FPÖ, parti autrichien fondé par d’anciens néonazis, espère convaincre les électeurs ce 29 septembre en prenant un virage écologiste.
Hommage aux victimes à Christchurch, après l'attentat de mars 2019. Wikipédia

Politiques identitaires et mythe du « grand remplacement »

Inspiré par la métapolitique nazie, le thème du grand remplacement est à présent brandi par l’extrême droite internationale pour attiser les peurs et justifier les violences.
(De g. à d.) Olli Kotro, membre du parti conservateur finlandais. Joerg Meuthen, porte-parole de l'AfD en Allemagne. Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur italien et Anders Primdahl Vistisen, membre du Parti populaire du Danemark, le 8 avril 2019 lors d'une réunion des nationalistes européens à Milan. Miguel Medina/AFP

Le nouveau visage du nationalisme européen

Aujourd’hui, la devise des nationalistes européens n’est plus « L’Europe, tu l’aimes ou la quittes » mais « L’Europe, tu ne l’aimes pas mais tu ne la quittes pas ».
Le vice-chancelier d'Autriche, Heinz-Christian Strache (FPÖ) s'exprime sous l'oeil du chancelier Sebastian Kurz (ÖVP), à Vienne, le 20 décembre 2017. ROland Schlager/AFP

En Autriche, le FPÖ n’en a pas fini avec les vieux démons du passé

L’évolution du FPÖ montre qu’il existe des constantes idéologiques au sein de ce mouvement et les dérapages de certains de ses membres ne sont pas des simples « fait divers ».
Les deux finalistes de la présidentielle de mai: le candidat Vert, Alexander Van der Bellen (à gauche), et son rival populiste, Norbert Hofer. Joe Klamar/AFP

Autriche : le soulagement anti-FPÖ était bel et bien prématuré !

Si une potentielle victoire du FPÖ à l’automne n’annonce pas un Brexit au centre de la Mittel Europa, elle préfigure en revanche un renforcement des populismes en Europe centrale et orientale.

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