Les acteurs des milieux scolaire et universitaire démontrent très peu d’appétit à l’égard des changements proposés par le projet de loi du ministre québécois de l’Éducation, Bernard Drainville.
Les cas Dupont-Moretti et Philippe éclairent les tensions qui fragilisent la Cour de Justice de la République, censée arbitrer quant à la responsabilité des ministres dans des affaires publiques.
Sous la Vᵉ République, détenir un mandat n’est pas une condition nécessaire pour devenir ministre, pourtant nombreux sont celles et ceux qui s’y risquent parfois à leurs dépens.
Quelle portée un changement à la tête de l’Éducation nationale a-t-il sur le terrain ? Quelques éclairages sur l’histoire de l’école pour remettre en perspective la nomination de Pap Ndiaye.
Les ministres choisis pour mettre en œuvre la planification écologique reflètent plutôt une vision techno-libérale des politiques publiques qu’une volonté de concertation avec les usagers.
L’essentiel dans un cas de conflit d’intérêts n’est pas tant de savoir ou non s’il y a eu faute, mais de gérer le risque de nuire à une relation de confiance entre l’organisation et le public.
Le procès d’Édouard Balladur et de François Léotard repose la question d’une nouvelle réforme de la protection constitutionnelle accordée à ceux qu’il est convenu d’appeler les « décideurs publics ».