Des soldats ukrainiens patrouillent à proximité de la ligne de front avec la République autoproclamée de Donetsk. Le panneau annonce que le champ est miné.
Anatolii Stepanov/AFP
Devant l’échec annoncé des négociations, la Russie menace de passer à l’offensive en Ukraine. Mais si l’Ukraine pouvait céder, le contrôle du pays par Moscou est loin d’être assuré.
Des habitants de Soukhoumi, la capitale de l’Abkhazie, brandissent des drapeaux de l’Abkhazie (à bandes vertes), de l’Ossétie du Sud (blanc, rouge et jaune) et de la Russie pour célébrer la reconnaissance par Moscou de l’indépendance de ces deux républiques sécessionnistes de Géorgie, le 16 août 2008.
AFP
Taline Ter Minassian, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Les entités sécessionnistes s’imposent comme un enjeu politique central pour les États issus de l’ancien Empire soviétique, mais aussi pour le continent européen.
Le drapeau de la « République populaire de Donetsk » hissé à proximité du monument à Lénine qui trône dans le centre de Donetsk, lors d’un concert organisé par les autorités de la région séparatiste en octobre 2014.
Philippe Desmazes/AFP
Un retour sur l’histoire de la ville de Donetsk permet de mieux comprendre que le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine est en bonne partie mémoriel.
Sur cette photo prise le 25 novembre 2020, un soldat éthiopien montre des impacts de balles tirées lors de l'attaque du Front populaire de libération du Tigré (TPLF), le 3 novembre 2020, contre le 5e bataillon du commandement nord de l'armée éthiopienne à Dansha, en Éthiopie.
Eduardo Soteras/AFP
Historienne, professeure des universités. Directrice de l'Observatoire des États post-soviétiques (équipe CREE), Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)