David Teurtrie, Institut national des langues et civilisations orientales - Inalco - USPC
Si le conflit dans le Donbass reste le point de tension principal, les contentieux russo-ukrainiens ne cessent de croître dans tous les domaines au moment où l’Ukraine entre en période pré-électorale.
A Ahvaz, le 24 septembre 2018, lors des funérailles des victimes de l'attentat commis deux jours auparavant.
Atta Kenare / AFP
Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
Entre menace séparatiste et hostilité extérieure, l’attentat d’Ahvaz, commis le 22 septembre 2018, est perçu en Iran comme un facteur sérieux de déstabilisation du Golfe.
Quim Torra, le 21 mai 2018, à l'issue de sa visite aux indépendantistes catalans emprisonnés près de Madrid.
Oscar Del Pozo/AFP
Christian Hoarau, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Le choix de Quim Torra, une personnalité sans expérience pour diriger la Catalogne, s’inscrit dans la vague de populisme qui inonde l’Europe et oriente vers la droite extrême le nationalisme catalan.
Christian Hoarau, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Tous les sondages montrent que les résultats prévus conduisent à une Catalogne ingouvernable. La situation économique et sociale devrait alors continuer de se dégrader.
Les dirigeants nationalistes, Gilles Siméoni (à gauche) et Guy Talamoni (à droite), lors d'un meeting, le 24 novembre 2017.
Pascal Pochard-Casabianca/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
Deux légitimités s’affrontent dans ces expériences : celle d’un État, de l’ordre, de la légalité, et celle d’une nation minoritaire qui tente d’être reconnue et de se doter d’un État.
Entraînement des soldats ukrainiens du Bataillon Donbass (ici en 2014).
ВО Свобода/Wikimedias
Céline Marangé, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Le Donbass est devenu un territoire dont ni Kiev ni Moscou ne veulent, mais que ni Kiev ni Moscou ne peuvent abandonner pour des raisons de politique intérieure et de crédibilité internationale.
Dans les rues de Barcelone, le jour d'après.
Pierre-Philippe Marcou / AFP
Ce n’est pas tant que le nationalisme espagnol soit condamné. Il doit, par contre, se réinventer, au bénéfice de tous les Espagnols et au premier chef, des Catalans.
A Barcelone, le 22 septembre dernier: des étudiants manifestent en faveur de l'indépendance.
Lluis Gene/ AFP
La crise économique est passée par là : l’indépendantisme est l’expression catalane d’un profond mécontentement populaire qui traverse toute l’Espagne. Et le choc avec Madrid paraît inéluctable.
professeur de science politique à Sciences Po Saint Germain en Laye / UVSQ. Spécialiste des phénomènes de violence politique et de sociologie du nationalisme, Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines – Université Paris-Saclay