Face aux effets de l’inflation sur le consommateur, les enseignes s’efforcent de limiter le gaspillage, s’ouvrent au marché de l’occasion… et mettent en avant leurs propres marques.
Le contexte actuel devrait favoriser les produits financiers censés comporter des protections face à la flambée des prix. Or, leurs cours ne cessent de baisser. Pourquoi ?
Selon les estimations du Cepremap, la mesure gouvernementale de protection du pouvoir d’achat engendrera des gains de croissance respectifs de 1,75 et de 0,08 point en 2022 et 2023.
La Slovénie, la Bulgarie, les états baltes ou encore bientôt la Croatie pourraient subir les effets de politiques monétaires davantage adaptées à la situation de grands États membres plus influents.
Depuis les années 1930, de nombreux économistes appellent à ne plus conditionner l’émission de monnaie à la demande de prêts des banques commerciales pour renforcer le pouvoir de l’autorité monétaire.
La tarification marginale, modulée selon la demande, guide depuis la Libération les prix des transports ou de l’électricité. Ce concept prend aujourd’hui une pertinence nouvelle.
Selon les estimations du Cepremap, la probabilité que la hausse des prix s’accélère en 2023 ne serait que de 10 %. La situation apparaît en revanche plus critique en Allemagne.
Le rythme inédit de hausse des prix enregistré depuis le début de la guerre en Ukraine s’explique principalement par les tensions sur le marché de l’énergie.
La notion de « pouvoir d’achat » peut assez facilement être instrumentalisée car différentes mesures sont possibles. Cependant, peu correspondent au ressenti réel des ménages.
La part de la redistribution des entreprises françaises aux salariés, nettement supérieure à celle observée ailleurs en Europe, n’a que très peu diminué début 2022 après plusieurs décennies de hausse.
Les risques d’éclatement d’une bulle immobilière restent pour l’heure relativement limités malgré la stagnation des prix enregistrée à la suite du relèvement des taux directeurs de la banque centrale.
La séquence entre l’annonce du mini-budget jusqu’à la démission de Liz Truss met en avant le rôle crucial des marchés quant au risque de monétisation des déficits publics par les banques centrales.
L’Allemagne a enregistré son premier déficit commercial extérieur depuis 1991. Une mauvaise nouvelle pour l’ensemble de ses partenaires de l’Union européenne, et en premier lieu pour la France.
À devoir faire un choix entre deux nuisances, une majorité de la population déclare préférer les situations à fort chômage et faible inflation aux situations à forte inflation et chômage faible.
Florian Léon, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF)
Les lauréats ont étudié les ruées vers les banques pour effectuer des retraits en période de crise. Des situations qui présentent des similitudes avec les files d’attente devant les stations-service.
La forte inflation a incité certaines entreprises à relever leurs prix de façon masquée, s’exposant ainsi à différentes réactions de la part des consommateurs.