L’exploration spatiale n’est pas un gaspillage de ressources, mais permet des avancées technologiques et médicales, une surveillance climatique et une inspiration éducative bénéfique pour les jeunes.
Lorsque les astronautes reviendront sur la Lune dans le cadre de la mission Artémis III de la NASA, ils porteront la combinaison spatiale nouvelle génération conçue par Axiom Space avec… la marque Prada.
Y a-t-il une vie dans l’espace ? Vaste question à laquelle de nouvelles missions spatiales entendent répondre. Télescopes, robots… que voient-ils ? Comment les signaux repérés sont-ils analysés ?
Les technologies et les innovations spatiales canadiennes occupent une place importante dans les missions Artemis, et cette participation reflète notre rôle toujours plus marqué dans cette nouvelle ère d’exploration lunaire.
Après la Seconde Guerre mondiale, les chercheurs français ont mis en place de nombreuses coopérations internationales pour développer le programme spatial.
Claudie Haigneré, seule femme française astronaute, nous explique comment elle a été sélectionnée pour s’envoler vers les étoiles : entre tests physiques, psychologiques et apprentissage du russe.
Quand notre corps est en situation d’impesanteur, comme un astronaute dans la station internationale, notre cerveau est totalement chamboulé, et il lui faut du temps pour s’adapter.
Si les caractéristiques cognitives intrinsèques d’un individu peuvent le prédisposer au complotisme, le contexte environnemental a, lui aussi, son importance.
Si la gravité disparaissait, la mousse de votre bière ne s’effondrerait pas et les bougies de votre gâteau d’anniversaire ne brûleraient pas. Quels autres phénomènes nous cache donc la pesanteur ?
Dans l’espace, l’absence de gravité a de fortes conséquences sur l’organisme des astronautes, mais ce n’est pas le seul effet dont il faut protéger les êtres vivants dans l’espace.
L’astronaute Story Musgrave a essayé d’expliquer comment son corps habitait l’espace, l’apesanteur, le noir, l’infini, la lumière. Mais est-ce seulement possible ?
Sylviane Chabli, Grenoble École de Management (GEM) and Mark Smith, Grenoble École de Management (GEM)
L’ESA a lancé un programme pour recruter astronautes en situation de déficience physique. Un signal fort qui peut contribuer plus globalement à changer la perception des entreprises sur ce sujet.
Plusieurs agences spatiales visent à envoyer de nouveau des humains sur la Lune. Coopération et compétition géostratégiques et économiques au programme.
En préparation d'éventuelles futures missions vers Mars, les scientifiques cherchent comment mesurer rapidement et efficacement les performances du cerveau et la fatigue mentale.
Profesor ayudante doctor en el Departamento de Mecánica de Fluidos y Propulsión Aeroespacial de la ETSIAE e invesigador en el Instituto Universitario de Microgravedad "Ignacio da Riva", Universidad Politécnica de Madrid (UPM)