Le loup d’Éthiopie vit en populations éparses dans des chaînes de montagnes reculées d’Éthiopie. Sa remarquable résilience permet de croire qu’un rétablissement de l’espèce est possible si on parvient à tenir en échec des menaces telles que la perte et la dégradation de son habitat.
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Les rapports sur la disparition de la biodiversité mondiale sont plus complexes et encourageants qu’ils ne le laissent paraître. Des données plus nuancées pourraient sauver certaines espèces.
Anthracotherium et Elomeryx, deux anthracothères,proches parents des hippopotames modernes et cousins des cétacés.
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Les bélugas utilisent le son pour communiquer, naviguer dans la mer et trouver de la nourriture. Mais l’ouverture des eaux arctiques pourrait affecter la santé et la survie des bélugas.
Et si la ménopause était utile aux générations suivantes ?
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Carla Aimé, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
D’un point de vue évolutif, la ménopause est intéressante pour notre espèce, en permettant une meilleure transmission des connaissances vers les plus jeunes.
Quand Mickey se pique de chasser la baleine…
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Premier volet d’une série consacrée aux classiques de la littérature d’aventure revus et corrigés par Disney, avec vidéo à l’appui.
Une baleine plonge dans la baie de Disko, au large de la côte ouest du Groenland, là où le squelette hybride d’un crâne de béluga croisé avec celui d’un narval a été découvert.
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Pascal Tassy, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Le Muséum de Bordeaux Sciences et Nature a rouvert ses portes en mars dernier après complète rénovation. Pascal Tassy, membre du conseil scientifique, explique ses choix de présentation.
Deux mégalodons en balade cinématographique.
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Le film « En eaux troubles » est bien placé au box office. L’occasion de se plonger dans les eaux préhistoriques à la rencontre de redoutables monstres marins.
Le phare et la tour des Baleines au clair de lune.
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La disparition rapide et massive de nombreuses espèces terrestres doit alerter autant que les effets du changement climatique… d’autant plus que ces deux processus sont intimement liés.
Chaque espèce possède une intelligence qui lui est propre, des émotions particulières et des moyens d’expressions variés.
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Il faut à la langue française un mot qui évoque à la fois la conscience, le ressenti et les émotions des animaux. Le terme anglais « sentience » qui dit tout cela mérite d’entrer au dictionnaire.
Arnaud Exbalin, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La fin des religions polythéistes a contribué à désacraliser les animaux. Retour sur trois cas emblématiques : le poisson chrétien, l’ours germanique et le chien aztèque.
Le 23 mars dernier, des militants de l’association L. 214 manifestent devant le tribunal d’Alès où est jugée l’affaire de l’abattoir du Vigan.
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Explorations pétrolières, navigation, éolien offshore… Le monde sous-marin est devenu terriblement bruyant, une situation inédite qui fait peser de nombreuses menaces sur la faune marine.
Échouage en masse de gobicéphales sur une plage de Nouvelle-Zélande, le 11 février 2017.
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Erreurs de navigation, perturbations humaines, comportement de groupe… Les causes sont multiples pour rendre compte du mystère de ces échouages de baleines et de dauphins sur les rivages.
Rats ? Dauphins ? Fourmis ? Lorsque l’espèce humaine disparaîtra, qui dominera la planète ? En tout cas pas un singe doué de parole comme l’a imaginé la science-fiction. Alors qui ?
En Australie, des études ont montré que le gecko posséderait au moins dix espèces « cryptiques ».
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Mike Lee, Flinders University and Paul Oliver, Australian National University
La Terre est couverte d’espèces variées, des plus grandes aux plus petites. Mais nous pensons maintenant qu’il pourrait y avoir dix fois plus d’espèces que l’on pensait à l’origine.
Les calamars, à l’image des autres céphalopodes, sont de plus en plus nombreux à peupler les océans.
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Si nombre de poissons victimes de la surpêche se font rares dans les océans, les céphalopodes, eux, prospèrent. De récents travaux nous permettent de mieux comprendre cette situation inédite.
Les gigantesques cétacés ont été la cible des baleiniers durant tout le XXe siècle.
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Si les baleines bleues se nourrissent dans les mêmes zones, de nouvelles analyses génétiques suggèrent qu’elles appartiennent à trois populations distinctes se reproduisant dans des endroits différents.
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)