Une nouvelle étude explique pourquoi les ragots sont dans l’oreille de celui qui les écoute – les motivations perçues de celui qui les colporte font toute la différence.
Marquer qu’un espace de travail est le sien avec une plante ou des photos est un moyen de composer avec le stress généré par le bruit d’un open-space. Pourquoi donc vouloir en priver ses salariés ?
Vouloir aligner les comportements au sein d’une entreprise peut être pertinent, mais est-il pour autant nécessaire de simuler des attentats et des prises d’otage pour cela ?
Souvent isolés et pressurisés, les professionnels de la vente sont vulnérables à l’anxiété sociale. Le soutien de leurs gestionnaires peut faire la différence.
Les modes de travail hybrides peuvent satisfaire les employés. Mais leurs besoins d’autonomie, de relations et de se sentir compétents perdurent. Il importe pour les gestionnaires d’en tenir compte.
Plusieurs études montrent que le lien entre une collaboration efficace et le travail en présentiel, qui favorise les échanges informels, n’est pas aussi fort que les ressources humaines ne le pensent.
Entre le télétravail de moins en moins populaire et les inconvénients du bureau révélés par les confinements, les tiers-lieux pourraient s’avérer un bon compromis. Ils restent néanmoins méconnus.
Un double travail d’acquisition d’une capacité d’agir et d’acceptation de ses émotions par la méditation entraîne des décisions plus apaisées et pertinentes qui améliorent le bien-être des équipes.
D’après les résultats d’une enquête menée par l’ESSEC, les Français se déclarent en grande majorité opposés au télétravail à temps plein et souhaiteraient retrouver un espace de travail attitré.
Si certains « scandales » éclatent parce que des députés décident d’utiliser leurs vêtements pour passer un message, les parlements persistent à vouloir encadrer l’habillement des femmes.