Une pancarte pro-Ukraine appelle à « arrêter de donner de l’argent à des meurtriers », devant le siège du groupe Engie. La Défense à Paris, le 29 avril 2022.
Emmanuel Dunand
À l’ère de la mondialisation, les sanctions économiques décidées contre la Russie par les États-Unis, l’Union européenne et ses alliés sont un test pour le projet de paix par le commerce.
Manal El Bekkari, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3 and Catherine Mercier-Suissa, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
En plus des aspects juridiques, les entreprises peuvent recourir à des solutions techniques tout en sensibilisant leurs équipes en interne.
Le négociateur européen de Brexit, Michel Barnier, lors d'une conférence de presse sur les négociations avec le Royaume-Uni, le 3 février 2020 à Bruxelles.
Kenzo Tribouillard/AFP
L’UE et le Royaume-Uni ont jusqu’au 31 décembre 2020 pour établir le cadre de leurs futures relations. Les négociations promettent d’être délicates.
Vous n'êtes pas sûr de payer votre sapin au juste prix ? L'équation d'Hotelling modifiée par Faustmann peut vous aider !
Aleksandra Suzi / Shutterstock
La traçabilité complexe des produits limite la portée d'une mention d'origine spécifique pour les importations en provenance des territoires occupés par Israël.
Muhamadu Buhari signe l'accord sur la zone de libre-échange continentale le 7 juillet 2019 lors du sommet de l'Union Africaine au Nigéria.
Issouf Sanogo / AFP
Cette zone a pour objectif d’ouvrir l’Afrique sur elle-même un marché qui compte environ 1,2 milliard d’habitants et qui, selon les estimations, va atteindre 2,5 milliards en 2050.
La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine remet en question jusqu'au modèle d'intégration européenne.
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À trop se focaliser sur des problématiques internes, les Européens sous-estiment l’effet de la politique commerciale américaine sur les forces centrifuges déjà structurellement à l’œuvre dans l’Union.
Le projet d'accord négocié par la première ministre Theresa May et Bruxelles a été rejeté massivement par les députés britanniques le 16 janvier dernier.
Alexandros Michailidis / Shutterstock
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
La première ministre britannique, Theresa May, à Londres, le 15 novembre, lors d'une conférence de presse.
Matt Dunham/AFP
La pluie de critiques qui s’est abattue sur Theresa May depuis l’annonce de l’accord avec Bruxelles montre qu’à bien des égards le retrait de l’Union est quasi-impossible.
Le port franc de Malte, construit à partir de 1988 sur l'emplacement de la base d'hydravions de Kalafrana utilisée anciennement par l'aviation britannique.
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Alors que l’Europe disserte sur les raisons du cataclysme Brexit, les Britanniques sont déjà en train de trouver des opportunités d’affaires. Via les ports francs, abandonnés par l’UE.