Les propositions franco-allemandes relèguent au second plan l’objectif de stabiliser les économies par un partage des risques entre les pays membres en cas de choc.
La crise grecque aurait pu être l’occasion pour les pays de la zone euro de clarifier leurs intentions sur le dessein de la monnaie unique. Malheureusement, c’est loin d’être le cas.
L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?
La nette accélération de la croissance au sein de la zone euro apporte déjà des bénéfices en termes de réduction du chômage. Pour attendue qu’elle puisse être, elle n’en demeure pas moins dangereuse.
La volonté de relance de la construction européenne de Mme Merkel pourrait la conduire à faire des concessions sur la vision allemande de la monnaie, au prix d’une forte opposition interne.
La politique macroprudentielle est utile pour la stabilité financière, mais elle peut aussi constituer l’instrument d’ajustement macro-conjoncturel dont la zone euro a besoin.
Pour une analyse à chaud du scrutin, trois aspects sont à aborder : les clés de ce succès, les fragilités qu’il recèle, l’importance décisive du mois à venir dans les actes et les discours.
La nécessité politique et sociologique de réconcilier plusieurs France après cette élection a déjà été soulignée. Il en existe une autre : réconcilier les Français avec leur politique étrangère.
L’union monétaire n’est pas vouée à l’échec, à condition que la monnaie unique s’inscrive dans un projet politique fort de convergence des niveaux de vie entre les pays.
Y a-t-il une alternative à la monnaie unique ? Peut-on la quitter ? Quelles seraient les conséquences d’une sortie de l’euro ? Comment renforcer l’union monétaire ?
Loin de réduire la pensée, la communication sur les médias sociaux, sur Twitter en particulier, est d’une grande force et efficacité. La preuve par le FN.
Quel système de sauvetage pour les banques en Europe ? Analyse critique du « mécanisme de résolution unique » et de l’équilibre entre régulateurs nationaux et régulateur supranational.