Fatiha Dazi-Héni, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Riyad est le gardien de la citadelle assiégée et s’impose comme le garant du statu quo de régimes dynastiques sortis indemnes du « printemps arabe », en dépit des mobilisations populaires d’ampleur.
Le prince saoudien Mohammed ben Salmane et le président chinois Jinping, en septembre 2016 à l’occasion du G20.
Greg Baker/AFP
Au début des années 1990, l’optimisme n’était pas de mise, et plusieurs des prophéties faites à l’époque semblent, sinon se réaliser, tout du moins devenir plus probables aujourd’hui.
Donald Trump ( et son équipe ) dans le bureau ovale devant le « Resolute desk » le 25 janvier 2017.
Karl-Ludwig Poggemann/Flickr
Des idées pour répondre aux trois défis – protectionniste, géopolitique et populiste – lancés par la politique annoncée par le nouveau président américain.
Prestation de serment, le 20 janvier 2017, à Washington.
Mandel Ngan / AFP
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le risque est grand, pour le nouveau président américain, d’être mis en difficulté, et même contredit par le Congrès qui, contrairement à lui, connaît le jeu politique sur le bout des doigts.
Le mannequin de cire du nouveau président américain dévoilée, le 19 janvier, au Musée Grévin, à Paris.
Christophe Archambault / AFP
La technique qui consiste à déstabiliser tout le monde pour se montrer plus rassurant peut parfois fonctionner dans une négociation commerciale, moins facilement dans le domaine diplomatique.
De facto, l’Europe est déjà « à l’anglaise ». Même en son absence, le Royaume-Uni risque fort d’occuper une chaise vide, celle de l’invité fantôme, et de continuer à influencer les politiques.
En 2017, si la définition de l’ordre mondial se joue en grande partie sur l’évolution géopolitique de la Syrie et du Moyen-Orient, l’Ukraine en sera aussi un révélateur crucial.
Le groupe pétrolier chinois Petrochina rêve de concurrencer le géant américain ExxonMobil.
Frederic J. Brown/AFP
Emmanuel Hache, Auteurs historiques The Conversation France
Les entreprises chinoises sont souvent présentées comme cannibalisant les compagnies étrangères. Ce n’est pas le cas des entreprises pétrolières qui tissent leur toile depuis plus d’une décennie.
Une vue sur Alep, le 9 décembre 2016.
George Ourfalian/AFP
La débâcle est là. Les vieilles puissances se retrouvent au rang de spectateurs impuissants, badauds diplomatiques d’une des crises les plus aiguës de la scène internationale d’après-guerre.
Le 3 décembre 2016, à Séoul, marche de protestation contre la présidente sud-coréenne.
Jung Yeon-Je/AFP
Marianne Péron-Doise, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Dans un contexte tendu avec la Corée du Nord, la crise politique s'aggrave à Séoul suite à l'adoption par le Parlement, ce 9 décembre, d'une motion de destitution visant la présidente sur-coréenne.
Vladimir Poutine dans l'un de ses discours aux parlementaires russes.
Kremlin/Wikimedia
Dans un récent discours au Parlement, Vladimir Poutine a mis l’accent sur les relations avec la Chine, le Japon et l’Inde. Les États-Unis n’ont pas le monopole de la notion de « pivot » asiatique.
Au-delà des fantasmes technophobes, l’hypothèse d’un dérapage de systèmes d’intelligence artificielle pouvant attenter à la sécurité militaire doit être prise en compte.
François Fillon, le 27 novembre 2016, au soir de sa consécration aux primaires.
Thomas Samson / AFP
Le nouveau président est loin d’être un isolationniste strict. Analyse de trois discours du candidat Trump considérés comme représentatifs du programme du candidat en matière diplomatique.
La nouvelle cathédrale russe sur les quais de la Seine.
Коля Саныч/Flickr
Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
Barack Obama (en 2012), accusé par ses détracteurs d'avoir érodé le leadership américain.
Christopher Dits/Flickr
L’Irak et la Syrie ont montré les limites du volontarisme. À quoi sert d’invoquer le leadership américain s’il ne peut guère changer la donne, et s’il n’est plus autant porteur de sens ?
Antonio Guterres, surnommé dans son pays « le marteau piqueur parlant ».
ONU/Flickr
Chloé Maurel, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Ce socialiste portugais, au verbe haut, prendra la tête des Nations unies en janvier prochain. Il aura pour mission de rendre cette instance indispensable plus efficace et encore plus démocratique.
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières