Le leader du Parti unioniste démocratique (DUP) d’Irlande du Nord, Jeffrey Donaldson, s’adresse aux médias à Belfast, le 17 février 2023, après une entrevue avec le premier ministre britannique Rishi Sunak. Les unionistes nord-irlandais bloquent depuis plus d’un an le fonctionnement des institutions politiques de la province.
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Les institutions nord-irlandaises sont bloquées depuis plus d’un an du fait de l’opposition entre tenants de l’unification avec la République d’Irlande et partisans du maintien au sein du Royaume-Uni.
Le 6 septembre 2022, la reine Elizabeth II rencontre la nouvelle première ministre britannique Liz Truss au château de Balmoral à Ballater, en Écosse.
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Liz Truss doit son accession au sommet de l’exécutif britannique à un positionnement très à droite en matière économique, et à l’inflexibilité qu’elle affiche sur les questions internationales.
Manifestation de commémoration à Derry, le 30 janvier 2022.
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Le massacre de 14 manifestants par l'armée britannique le 30 janvier 1972 a traumatisé toute l’Irlande du Nord. 50 ans plus tard, le Brexit ravive certaines tensions.
Le 7 avril 2021, des manifestants nord-irlandais brûlent la Porte de la Paix à Belfast, construite dans les années 1990 pour séparer les communautés protestantes et catholiques de la ville en guerre.
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Le Brexit a rouvert une vieille bataille sur l’identité nord-irlandaise, entraînant des affrontements de rue sans précédent depuis des décennies.
Contrairement à ce qu’affirmaient le premier ministre Boris Johnson et les partisans du Brexit, les négociations n’auront pas été simples…
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De juin 2016 au 1ᵉʳ janvier 2021, date d’entrée en vigueur de l’accord commercial entre le Royaume-Uni et l’UE, les négociations du Brexit auront offert le spectacle d’un processus tumultueux.
Boris Johnson dans un bateau baptisé Pathfinder (Éclaireur), Londres, le 2 décembre 2019.
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Les conservateurs, largement favoris des élections législatives britanniques du 12 décembre prochain, espèrent en tirer une majorité qui leur permettra de mener le Brexit à son terme.
Et si l'annonce de Boris Johnson de suspendre le parlement britannique n'était qu'un énorme coup de bluff destiné à faire céder l'adversaire?
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Le Brexit représente une épreuve d’Hercule pour la démocratie britannique, qui doit vivre avec la concurrence de deux souverainetés : celle du Parlement et celle du peuple.
Le projet d'accord négocié par la première ministre Theresa May et Bruxelles a été rejeté massivement par les députés britanniques le 16 janvier dernier.
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Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
Theresa May, le 13 décembre, à Bruxelles, avec ses pairs européens.
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La pluie de critiques qui s’est abattue sur Theresa May depuis l’annonce de l’accord avec Bruxelles montre qu’à bien des égards le retrait de l’Union est quasi-impossible.