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Articles on Jean-Luc Mélenchon

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Dans une rue de Paris, à la veille du second tour de la présidentielle. Lorie Shaull/Flickr

La marche confirmée de la gauche vers sa gentrification

La gauche française a fini sa gentrification, sa mue en portant Emmanuel Macron au pouvoir celui qui pose là le libéralisme économique tout aussi bien qu’une forme du libéralisme culturel.
Dans un bureau de vote, à Bordeaux, le 23 avril 2017. Xavier Buaillon/Flickr

Le vote blanc et nul, un porte-voix à faible résonance

Jamais le vote blanc et nul n’aura été autant évoqué lors d’une présidentielle, et pourtant il est peu entendu. Présentation d’une étude inédite menée au lendemain du premier tour.
Affichage sauvage, le 23 avril 2017. Thierry Teclercq/Flickr

Deux populismes valent mieux qu’un !

Macron l’a emporté parce qu’il avait face à lui deux versions inconciliables du souverainisme populiste, là où le Royaume-Uni du Brexit et les États-Unis de Trump n’en ont eu qu’une.
Emmanuel Macron, à Paris, le 10 mai 2017. Eric Feferberg/AFP

La présidentielle 2017, accélérateur de transition

Les anciennes forces de gouvernement, PS et LR-UDI, sont directement impactées car elles sont sur les lignes de faille du bouleversement correspondant à la transition entre deux systèmes partisans.
L'élection de 2017 aura connu un pic de votes blancs et nuls. Damien Meyer / AFP

Votes blancs, le bûcher des « voix perdues »

En ajoutant un taux d’abstention dépassant les 25 %, c’est plus d’un électeur inscrit sur trois qui n’a voulu ou tout simplement su, le 7 mai 2017, transformer sa voix en « suffrage exprimé ».
François Fillon et Laurent Wauquiez au pied de la statue de la Vierge au Puy-en-Velay, en avril 2017. Thierry Zoccolan/AFP

Un catholicisme otage de la campagne présidentielle

Depuis le premier tour, le débat sur le report des voix fait rage au sein du catholicisme français dont les lignes de fractures se multiplient. « Le » vote catholique n’est-il pas une chimère ?
Le 1er mai, Jean-Luc Mélenchon participe à la cérémonie à la mémoire de Brahim Bouarram, qui avait été poussé dans la Seine par des militants d'extrême-droite après une manifestation du Front National. Thomas SAMSON / AFP

L’in(sou)tenable légèreté de l’Insoumis

À la veille du second tour de l’élection présidentielle, Jean‑Luc Mélenchon adopte une position ambiguë vis-à-vis du Front national. Une stratégie dangereuse pour lui comme pour son mouvement.
Emmanuel Macron, sorti en tête au soir du premier tour de l'élection présidentielle. Eric Feferberg/AFP

Une France pliée en quatre mais qui ne fait pas rire

Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Les candidats se réclamant d'une façon ou d'une autre du populisme totalisent près de 50 % des voix. Joël Saget et Bertrand Guay / AFP

Et le vainqueur est… le populisme

La vague de fond de cette élection présidentielle est l’installation du populisme dans la vie politique : les candidats s’en inspirant réunissent globalement la moitié de l’électorat.
Le 13 avril 2017, en Pologne: cérémonie d'accueil d'un bataillon de l'armée américaine déployée sur le flanc oriental de l'Alliance. Wojtek Radwanski/AFP

L’OTAN dans la ligne de mire des candidats à la présidentielle

S’il est difficile de savoir quel candidat sera sélectionné pour le second tour de la présidentielle, il est probable que les deux élus ne soient pas de chauds partisans de l’Alliance atlantique.
Des migrants sur le pont d'un navire venu de Libye et conduit à Palerme (Sicile), le 18 avril 2017. Alessandro Fucarini / AFP

Migrations et élections : le manque d’imagination au pouvoir ?

L’analyse du programme et des discours des candidats révèle de vraies différences, à travers la persistance du clivage gauche-droite, mais aussi un manque criant d’innovation.
Scène de collage à Rennes, le 10 avril 2017. Damien Meyer/AFP

La présidentielle de 2017 est une élection par défaut

La dernière enquête réalisée par le Cevipof montre que 43 % des électeurs sont encore indécis dans leur choix. Elle montre aussi que le vote se fera en grande partie par défaut.

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