Dans certains pays comme l’Indonésie, la démarche scientifique se voit parfois entravée par la politique. Ouvrir l’accès aux données permettrait de mieux évaluer les études, dans l’intérêt général.
L’examen du mouvement en faveur du libre accès aux données publiques peut permettre aux chercheurs de cerner les lacunes des approches en vigueur sur la science ouverte.
La formation des utilisateurs de microcapteurs citoyens et l’expérimentation sont au cœur de projets participatifs, entre science de l’atmosphère, des capteurs, et méthode scientifique.
La confiance sociale c’est faire a priori confiance aux personnes que l’on ne connaît pas, qui ne font pas partie de nos proches. Quels sont ses ressorts ?
L’ouverture des informations juridiques aiderait les professionnels du droit dans leurs missions. Une des hautes juridictions belges montre l’exemple depuis plusieurs années : le Conseil d’État belge.
Les motivations des chercheurs pour ouvrir leurs recherches sont multiples, mais les jeunes s’interrogent sur la prise en compte de ces pratiques dans l’évaluation, en particulier à l’embauche.
Prévenir à l’avance de l’arrivée d’un séisme ou d’un tsunami peut permettre de se mettre à l’abri et d’organiser les secours. Comment détecte-t-on rapidement ces évènements si imprévisibles ?
Développés par une communauté pionnière du « libre » et de l’ouverture, les logiciels sont des outils bien particuliers en science. Le mode de diffusion peut faire la différence.
Une plongée dans les archives de la presse française du XXᵉ siècle permet de repérer d’étonnantes similitudes entre le traitement médiatique de la grippe espagnole et celui du Covid-19.
Les inégalités d’accès à la littérature scientifique entravent sérieusement la pratique d’une recherche de qualité, y compris dans le secteur médical. Données, analyse et propositions de solutions.
Les fab lab sont équipés pour concevoir de nouvelles technologies et les prototyper rapidement – en attendant le passage à l’échelle industrielle, ils équipent soignants et patients.
Bruno David, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
La science ouverte pourrait être un changement majeur de paradigme dans le partage du savoir scientifique : ne plus le faire payer, partager tout simplement.
Individuellement, nous sommes tous démunis devant la crise du coronavirus. Un boom collaboratif mondial est en train de changer la manière dont la science se fait.
La reproductibilité dans les sciences est souvent considérée comme un principe absolu à respecter par tous. Pourtant ce n'est pas si simple. Focus sur la «crise de la reproductibilité».
La menace d'une pandémie mondiale de Covid-19 force la science à devenir de plus en plus ouverte. Cette transparence transforme le travail des scientifiques et pourrait changer le monde.
Pour évaluer l’impact d’un travail de recherche, il existe désormais d’autres mesures que le nombre de citations dans les revues scientifiques les plus reconnues.
Sismologue, Chargé de recherche au CNRS, Observatoire Volcanologique du Piton de la Fournaise, Institut de Physique du Globe de Paris, Université de Strasbourg