Modéliser les mouvements océaniques avec toujours plus de précision nous permettra d’anticiper à court et plus long terme son avenir et les phénomènes associés.
De jeunes pétoncles sont semés par l’équipe de l’écloserie du Tinduff (Finistère) sur des zones préalablement enrichies en substrats pour leur permettre de se fixer.
Stéphane Pouvreau / Ifremer
Longtemps pêché en rade de Brest, Mimachlamys varia a été victime ces dernières décennies de la surexploitation et de la perte de son habitat. Un programme tente de le réintroduire.
Larves de hareng prises en macro-photographie (largeur réelle de la photo : 2 cm)
À l’état larvaire, les poissons sont extrêmement vulnérables aux changements de leur milieu, il est donc crucial de savoir comment les larves vont réagir face au dérèglement climatique.
Retour au port du Guilvinec (Finistère) après une journée de pêche.
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L’océan Atlantique continue de s’étendre mais les hommes surexploitent ses ressources, dont l’espèce la plus célèbre – la morue – illustre les ravages de la pêche à outrance.
Dans la baie de Vilaine, le 9 Juillet 2020.
Mathilde Schapira/Ifremer
Du Finistère Sud aux côtes Vendéennes, la prolifération nuisible du Lepidodinium chlorophorum inquiète et réclame de mieux comprendre les causes et l’ampleur de ce phénomène.
Les poissons migrateurs comme le saumon, autrefois connus pour leur abondance, se raréfient sous la pression anthropique.
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Les pressions anthropiques et le changement climatique menacent les poissons migrateurs. Mieux évaluer les services écosystémiques qu’ils nous rendent nous encouragerait à mieux les protéger.
Paragorgia sp. (rouge) et autre faune fixée sur matrices de coraux coloniaux, Golfe de Gascogne.
Ifremer, BOBECO 2011, ROV VICTOR 6000
Dans le golfe de Gascogne, les activités anthropiques exercent de nouvelles pressions sur les écosystèmes océaniques profonds, et notamment des récifs coralliens.
Une vie à des milliers de mètres de profondeur.
Ifremer/Nautile BICOSE2 2018
Une série pour faire la connaissance d’étranges créatures, marines et terrestres. Aujourd’hui, « Rimicaris exoculata ».
Introduire des pratiques de gestion durable de l'océan est devenu impératif. Ici, vue sous un épais radeau de sargasses (algues brunes).
Sandrine Ruitton/IRD
Pollutions, surexploitations, compétitions, l’avenir de l’océan est alarmant. Alors que la journée du 8 juin lui est dédiée, apprenons des initiatives locales pour sa gestion durable.
Il y aurait plus de 350 espèces de requins différentes dans le monde.
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Si nombre de poissons victimes de la surpêche se font rares dans les océans, les céphalopodes, eux, prospèrent. De récents travaux nous permettent de mieux comprendre cette situation inédite.