Employé avec largesse, le terme « populisme » est associé à des partis et figures politiques n’ayant rien à voir les uns avec les autres. Mais alors, qu’est-ce donc que le populisme ?
Bien que son contenu soit essentiellement libertarien, la chanson numéro un de l’été aux États-Unis trouve écho tant chez certains partisans démocrates qu’avec ceux de la droite trumpiste.
La crédibilité politique est attachée à la personne et construite par celle-ci à travers sa façon d’agir et de parler, et en même temps, c’est par les autres qu’elle est jugée.
Un veto populaire pourrait permettre de donner au peuple le dernier mot en ce qui concerne des réformes similaires à celle des retraites. Il existe dans plusieurs pays européens.
Nicolle Herzog, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les insurgés du Capitole et, au-delà, les électeurs de Donald Trump, ne sont pas seulement mus par une angoisse économique mais aussi par la crainte d’un déclassement social, politique et culturel.
Le discours que Donald Trump a prononcé le 6 janvier à Washington, et qui a incité ses sympathisants à investir de force le Capitole, constitue un parfait condensé de sa rhétorique populiste.
La semaine d’émeutes que vient de traverser l’Iran, qui s’est soldée par un lourd bilan humain, témoigne de l’exaspération de la société civile et, spécialement, de la jeunesse, vis-à-vis du pouvoir.
Maître de conférences en Science politique, membre de l'Institut des sciences sociales du politiques (ISP, CNRS), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeure de sociologie, directrice du Centre d’Enseignement, de Documentation et de Recherches pour les Etudes Féministes (CEDREF), Université Paris Cité