Peut-on viser et tuer des personnes – françaises ou non – à l’étranger hors du contexte d’une intervention militaire française dans le cadre d’une guerre ?
La stratégie du Président turc, qui divise pour mieux régner, pourrait lui jouer des tours dans le contexte d’insécurité grandissante qui mine le pays.
À l’heure où Donald Trump envisage la levée des sanctions qui frappent la Russie afin d’inaugurer de nouvelles relations avec Moscou, il convient de saisir la nature populiste du régime de Poutine.
Le 31 décembre 2016, le Conseil de sécurité de l'ONU approuve le plan de paix russo-turc sur la Syrie.
Kena Betancur/AFP
Le monde n’est jamais apparu, depuis 1945, malgré les risques de cataclysme de la Guerre froide, comme aussi dangereux tant pour la paix que pour les valeurs de droit et de liberté.
Démonstration de l'installation d'une unité de soin de MSF.
Rufai Ajala/Flickr
Sylvie Michel, Université de Bordeaux and Marc Bidan, Auteurs fondateurs The Conversation France
Comment un hôpital de campagne peut décoller en kit de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac et renaître au petit matin à Djouba ou Port-au-Prince ? Étude des défis quotidiens des logisticiens de MSF.
À l'aéroport de Simféropol (Crimée), en février 2014.
Elizabeth Arrott/Wikimedia
L’Union européenne va renouveler les sanctions visant la Russie dans le dossier ukrainien. Quand la guerre et l’inertie diplomatique sont exclues, il reste cet outil, en forme de riposte graduée.
Deux soldats canadiens participent à un exercice de l'OTAN en Ukraine, en 2011.
U.S. Army Europe/Flickr
Manuel Dorion-Soulié, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
La nation canadienne s’est construite dans la guerre et dans la mémoire de ses guerres. Les interventions militaires d’aujourd’hui font l’objet d’une lutte pour la définition de ce qu’est le Canada.
Un véhicule de miliciens dans les faubourgs de Kunduz, en octobre 2016.
Bahsir Khan Safi/AFP
L’élection de Trump pourrait entraîner une remise en question des opérations menées en Irak et en Afghanistan. Dans ce pays, qu’en est-il des milices, quinze ans après le début de l’intervention ?
Une vue sur Alep, le 9 décembre 2016.
George Ourfalian/AFP
La débâcle est là. Les vieilles puissances se retrouvent au rang de spectateurs impuissants, badauds diplomatiques d’une des crises les plus aiguës de la scène internationale d’après-guerre.
Des séparatistes touaregs dans le nord du Mali en 2012.
Magharebia/Wikimedia
Si les guerres créent des opportunités pour des prétendants au pouvoir dans les zones où l’État est défaillant, la recomposition des espaces politiques dépasse le moment formel de la guerre.
Le siège de la Banque centrale du Liban, à Beyrouth.
Karan Jain/Wikimedia
Durant la guerre civile, les hauts fonctionnaires comme les milices ont veillé à maintenir un fonctionnement minimal de l’État. Une situation éloignée du quotidien actuel au Yémen ou en Syrie
Fin septembre 2016, des soldats du gouvernement national sur la ligne de front à Syrte.
Fabio Bucciarelli/AFP
Après des mois d’intenses combats, le gouvernement libyen affirme avoir défait les forces de l’État islamique à Syrte. Une victoire qui doit beaucoup au soutien actif des Américains.
A Berlin, le 12 novembre 2016.
John Macdougall / AFP
Nous entrons dans une nouvelle ère dont nous ne connaissons ni les fins ni la fin. Elle n’est pas maîtrisable, même par les créatures qu’elle fait naître.
Donald Trump lors de sa campagne, dans l'Arizona.
Gage Skidmore/Flickr
Le débat en France néglige des phénomènes pourtant centraux et qui sortent de la seule question du choix entre libre-échange et protectionnisme : les politiques commerciales sont toujours mixtes.
Alep détruit, ce sont des morts et des blessés par milliers, mais aussi un centre abritant un patrimoine biologique et génétique précieux qui a dû être relocalisé. Témoignage.
En route pour Mossoul, le 18 octobre 2016.
Ahmad Al-Rubaye/AFP
Pour éviter l’autonomisation du Nord, voire la partition du pays, Bagdad va devoir donner des garanties aux sunnites et leur octroyer une représentation viable.
Les «Casques blancs» d'Alep, le 4 octobre, après un bombardement de l'aviation de Damas.
Ameer Alhalbi / AFP
Même s’ils ne sont pas jugés, faut-il renoncer à toute action politique ? Cela reviendrait à instiller un virus potentiellement dévastateur dans le corps des démocraties libérales.
Alep, le 27 septembre. Le corps sans vie d'un enfant vient d'être sorti des décombres.
Karam al-Masri/AFP
Après des semaines d'intenses bombardements, le régime de Damas va remporter la victoire à Alep. Face à l’impuissance affichée par la « communauté internationale », il ne faut surtout pas se résigner.
Des soldats ougandais de la force africaine déployée en Somalie, en patrouille dans les rues de Mogadiscio.
Amisom/Flickr
Quelles sont les raisons qui poussent les États africains à s’engager dans des missions de paix qui se distinguent de moins en moins de la guerre par leurs objectifs et leur mise en œuvre ?