Jusqu’au 31 mars, le musée Fabre (Montpellier) expose plusieurs œuvres d’Alexandre Hollan. La persévérance du geste s’y laisse saisir comme une réponse à un puissant appel du motif naturel.
Dans ce contexte difficile, à travers différents dispositifs, les artistes s’engagent auprès des réfugiés syriens pour restaurer le lien social, stimuler l’imagination et ressusciter l’espoir.
La licorne est un animal fétiche de la « start-up nation »… Mais revisitons plutôt le passé à la découverte d’Elasmotherium, une bête à corne pas mytho.
Lisa Bouraly, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Après des siècles de silence forcé, les Premières Nations, les Inuits et les Métis se réapproprient un espace public pour exprimer qui ils sont, ce qu’ils pensent et ce qu’ils veulent.
Le fonds des archives de Paul Collart représente la source la plus complète pour comprendre et restituer le sanctuaire de Baalshamîn à Palmyre, aujourd’hui complètement détruit.
La nature caricaturale de ce débat ne peut que déboucher sur des incompréhensions, des frustrations et in fine, un échec dont personne ne sortira gagnant.
« Tour-réservoir » est une web-série générative qui invite chacun à explorer une matière documentaire produite par les habitants du quartier de Caucriauville au Havre.
Par la technologie, nous reconstruisons, artificiellement et toujours plus, notre perception, notre relation instantanée au monde et notre (in)capacité à communiquer entre nous.
Le 25 octobre 2018, Christie’s mettait en vente le portrait d’Edmond de Belamy « peint » par un programme d’intelligence artificielle mis au point par le collectif français Obvious.
Les projets visant à faire dialoguer arts et sciences se multiplient, notamment à l’Université de Bordeaux. Mais comment dépasser la tendance naturelle à la juxtaposition des méthodes et des pratiques ?
En changeant d’univers et de personnages chaque saison, la série anthologique de la chaîne FX traite différentes formes de peur au prisme des genres horrifiques.
Dans les revues du nu 1900, images étranges et visions curieuses se conjuguent pour conter les clichés et ambivalences qui entouraient alors la condition féminine.
L’un des principaux devoirs de l’historien est de privilégier le savoir, et tout le savoir. « Sexe, race et colonies » est d’abord un livre adressé au public blanc.
Professeure de management stratégique, directrice des programmes du MSc Arts & Creative Industries Management à Paris et de la partie française de l'Institut Franco-Chinois de Management des Arts et du Design à Shanghai, Kedge Business School
Enseignante certifée (lettres modernes, sciences de l'information et de la communication, FLE), autrice (France Culture, Radio Nova, Joca Seria), Université Sorbonne Paris Nord