Les points stratigraphiques mondiaux (ou « clous d'or ») sont utilisés par les géologues pour identifier les limites entre deux étages géologiques distincts, représentant deux unités temporelles distinctes à l'échelle des temps géologiques.
James St John / Flickr
L'anthropocène, cette possible nouvelle ère géologique où l’influence humaine aurait surpassé les forces naturelles, est loin de faire consensus chez les géologues. Certains en déplorent l'anthropocentrisme.
Où doit-on se placer par rapport à l'animal ?
Nathan Cima/Unsplash
Au fil de l’histoire, l’humain a souvent été tenté de se placer au-dessus de l’animal ; comment penser notre rapport au vivant aujourd’hui ?
Pour de nombreuses personnes, il est très difficile de perdre du poids sans aide professionnelle. L'obésité est un problème moderne, qui nécessite une approche novatrice.
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L’humain a commencé à prendre du poids à mesure que les progrès technologiques ont rendu la nourriture abondante et disponible. Car son cerveau et son métabolisme fonctionnent comme en temps de disette.
En étudiant les heures consacrées à certaines activités mondialement, on obtient une image de la manière dont nous utilisons collectivement le temps.
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Alejandro Cearreta, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea
Le lac Crawford a été choisi pour identifier le début de l’anthropocène, l’époque géologique caractérisée par l’impact de l’activité humaine. La présence de plutonium a été déterminante dans ce choix.
La recherche d’un équilibre dans la réponse aux besoins humains en lien avec les limites du milieu est un enjeu perpétuel dans l’histoire de l’humanité.
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Une question fondamentale de la recherche. Peut-être reste-t-il encore à découvrir…
Depuis l’effondrement du mur de Berlin, le monde a vécu dans la conviction qu’il n’y avait pas d’alternative au « technologisme » de notre temps.
Flickr/Christopher Dombres
Au-delà des polémiques, les propos d’Emmanuel Macron laissent entrevoir dans la crise climatique une opportunité de rompre avec les errances des systèmes qui prévalent depuis 30 ans.
Les robots « Spot » de Boston Dynamics et « Nao » de SoftBank Robotics sont très différents: l'un humanoïde, l'autre non.
JJxFile et Xavier Caré, Wikimedia Commons
Quels sont les mécanismes derrière l’« anthropomorphisme », qui nous pousse à nous tisser des liens avec des non-humains ?
Reconstruction de différents modes de locomotion dans le désert du Djourab (Tchad).
Sabine Riffaut, Guillaume Daver, Franck Guy / Palevoprim / CNRS – Université de Poitiers / MPFT
Une toute nouvelle étude dévoile le mode de locomotion de nos très anciens ancêtres, des humains capables de marcher mais aussi d’évoluer dans les arbres.
Groupe VI, évolution n°14, 1908, Hilma Af Klint.
Stpckholm, fondation Hilma Af Klint.
Enfermé dans une petite case sur un écran, le télétravailleur est privé de l’aspect informel des échanges. Un bouleversement qui demande une adaptation du management.
Sommes-nous trop humains pour pouvoir nous reposer pleinement ?
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Dans ce premier épisode, le philosophe Laurent Bibard nous éclaire sur l'étymologie du mot « repos » et le(s) sens à donner à cette notion qui fait de l'homme un animal dénaturé.
Il est peut-être plus facile de construire des machines qui nous ignorent que des machines qui nous ressemblent.
Franck V. / Unsplash
Dans ce scénario, toutes les étapes de la production à la distribution seraient assurées par des systèmes autogérés. Une voie plus plausible que le transhumanisme.
En ces temps d'épidémie et de confinement, nous voilà à l'écart de ces scènes sociales sur lesquelles se jouait une part de notre identité.
Muffinn/VisualHunt
Pascale Naveau, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
« L’Exode de l’humanité » est une exposition dont l’objectif est de permettre aux spectateurs de se détacher de l’image négative associée aux migrants.
Selon le philosophe des sciences Etienne Klein, « On invoque autant de temps différents qu'il y a de temporalités différentes ».
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Hervé Goy, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
Alors que la catastrophe semble devenue le principal marqueur de notre futur, le passage de la modernité à une ère de post-modernité soulève plus que jamais la question de notre rapport à l’avenir.
Si l’impact de l’humanité sur la planète est particulièrement rapide et brutal, elle n'est pas la première forme de vie à provoquer des bouleversements planétaires.
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L’anthropocène, qui peine a obtenir une reconnaissance scientifique officielle, accorde à l’humanité une place disproportionnée dans l’histoire du vivant.
« L’homme si sûr de son identité représente surtout une collection d’espèces cohabitant dans la plus parfaite des collaborations. »
Extrait de « Insignificant – Une espèce à part »
En dix courts épisodes, Franck Courchamp et Clément Morin invitent les êtres humains à se décentrer et à envisager sous un nouveau jour leur place et leur rôle dans leur environnement.