L’altruisme lié au don reste éloigné du matérialisme, motivation première d’achat dans le luxe. Pour surmonter cet antagonisme, les marques doivent s’appuyer sur les points de vente, montre une étude.
La gestion des invendus devient incontournable pour l’industrie de la mode. Les enjeux et les solutions ne sont pas les mêmes dans le luxe que dans la « fast fashion ».
Les clients, de plus en plus nombreux, restent animés par des motivations qui leur font accepter largement les hausses de prix régulières et les marges confortables des grandes marques.
Les top-modèles exercent leur profession sous la menace constante d’être remplacées par d’autres si elles ne parviennent pas à résister à une pression déshumanisante.
Les multiples métamorphoses de l’Orient-Express en font un mythe abstrait : associé au voyage, il incarne les diverses mentalités d’une Europe culturellement hétérogène.
Les technologies permettent de concevoir des expériences surprenantes et personnalisées grâce à la stimulation des cinq sens, renforçant ainsi l’attachement et la fidélité des clients.
Joan Le Goff, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) y Faouzi Bensebaa, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Depuis plus de 30 ans, les patrons de LVMH et Kering prennent des décisions dont les motivations économiques restent parfois secondaires. Retour sur un duel au sommet du luxe français.
Selon une étude, une bonne réputation de l’acquéreur peut favoriser la prise de risque tout comme elle peut conduire à une plus grande prudence dans ce type d’opération.
La mise en avant de la passion des artisans pour leur travail dans la communication permet notamment de répondre aux nouvelles aspirations des consommateurs.
La démocratisation de cette fibre rare a notamment eu pour conséquences une dégradation de la qualité, une fragilisation économique des éleveurs et des impacts irréversibles sur les sols.
L’édition 2020 de la fête des célibataires en Chine aura généré 74,1 milliards de dollars, plus que les anticipations pour les opérations de fin d’année aux États-Unis.
Le digital et le marché chinois deviennent des leviers stratégiques clés, comme l’illustre l’investissement conjoint d’Alibaba, Richemont et Artemis dans la plate-forme mondiale de mode.
Les marques doivent notamment veiller à l’adéquation avec les valeurs qu’elles portent, à communiquer discrètement et à ne pas mettre la pression sur les clients.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)