Les fuites qui se multiplient sur la teneur des relations que Trump et son entourage ont entretenues avec la Russie révèlent les fortes tensions entre le Président et ceux qui sont censés le servir.
L’agenda proposé est clair et déterminé, le Président propose un changement fort pour le pays, il annonce la fin de l’Obamacare, le début de la dérégulation, une grande réforme des impôts.
Accusant la presse de le caricaturer et de le dénigrer, le nouveau président a décidé de ne plus donner de conférence de presse régulière, préférant utiliser un média social, Twitter.
Le Parti et le Congrès se sont rangés comme un seul homme derrière le président dès le 8 novembre. Tous savent que la réussite du mandat de Donald Trump conditionnera le maintien de leur siège.
Son ton nouveau et sa capacité de jouer le rôle du chien dans un jeu de quilles lui avait donné une emprise sans précédent sur la campagne. Mais cette nouveauté n’a pas duré : tout passe, tout lasse.
Après des semaines d'intenses bombardements, le régime de Damas va remporter la victoire à Alep. Face à l’impuissance affichée par la « communauté internationale », il ne faut surtout pas se résigner.
Pour la dernière fois de la présidence de Barack Obama et du mandat de [François Hollande, les deux hommes intervenaient devant l’Assemblée générale des Nations unies. Le temps des bilans.
Jacques de Maillard, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Charlotte, Dallas, Ferguson : en dépit de la tonalité dominante du débat public, la question n’est pas simplement raciale, elle concerne aussi l’usage des armes létales dans la société américaine.
En exprimant ses regrets à propos de l’intervention militaire en Libye, le président américain confirme sa singularité : sa grande méfiance vis-à-vis de l’usage inconsidéré de la force.
En refusant in extremis de bombarder le régime de Damas en 2013, Barack Obama aurait encouragé l’usage de la force sur la scène internationale. Un constat un peu simpliste.
Cara Horowitz, University of California, Los Angeles
En suspendant le « Clean Power Plan » de l’administration Obama, la Cour suprême a remis le sort de la politique climatique américaine dans les mains du nouveau locataire de la Maison-Blanche.
Clément Therme, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Malgré les pressions de l'influent lobby pro-israélien à Washington, l'accord sur le nucléaire iranien voulu par Barack Obama a passé l'obstacle du Congrès. Mais Israël n'a pas dit son dernier mot.
Après la fusillade dans l'Oregon, Barack Obama a appelé à légiférer. Mais les experts estiment que rien ne pourra bouger au vu de la puissance du lobby des armes à feu Outre-Atlantique.
Depuis les printemps arabes de 2011, la crise syrienne et l’émergence de Daech en Irak, puis en Syrie, ont accéléré un processus de transformation profonde du Moyen-Orient. Celui-ci a affecté non seulement…
Alors que la COP21 de Paris approche, une série en trois articles pour identifier les enjeux de la prochaine grande conférence internationale sur le changement climatique.