Dans le Grand Est comme ailleurs en France, les échéances nationales semblent parfois écraser les enjeux des régionales. Ici, c'est à Marine Le Pen, en visite à Lunéville, que l'on demande de signer le tract de la tête de liste RN Laurent Jacobelli.
Jean-Christophe Verhaegen/AFP
Dans le Grand Est, le scrutin régional et départemental est l’occasion de répéter les alliances pour la présidentielle, mais aussi de régler des questions locales, comme l’autonomisme alsacien.
Photo du candidat RN Thierry Mariani à Pennes-Mirabeau, près de Marseille (région PACA).
Nicolas TUCAT / AFP
Une victoire du RN en région PACA présente non seulement un fort enjeu politique pour le territoire mais aussi un tournant majeur dans la vie politique nationale.
Avec leurs campagnes où les visites de figures nationales servent souvent d'argument pour convaincre, les régionales font figure de répétition générale de la présidentielle. Ici, Matthieu Orphelin, candidat en région Pays de la Loire pour la liste « l'Ecologie ensemble », avec Yannick Jadot, leader d'Europe Ecologie Les Verts, le 15 juin 2021.
Jean-François Monier/AFP
Tout l’édifice électoral se décline exclusivement à partir de l’élection présidentielle : les autres scrutins se voient réduits à l’état d’annonces ou de répliques plus ou moins directes de celle-ci.
Une semaine après la publication de la vidéo du youtubeur Papacito, Jean-Luc Mélenchon participait à la “Marche des libertés”, contre les idées d'extrême-droite, au côté de plusieurs figures de la gauche.
Sameer Al-Doumy/AFP
Avec la controverse publique causée par la vidéo du youtubeur Papacito, il est intéressant de se pencher non sur la vidéo, mais sur le contexte général dans lequel elle est produite.
Marine Le Pen (RN) à Saint-Chamond le 3 juin dans la région Auvergne Rhone Alpes, dans le cadre de la campagne pour les élections régionales.
PHILIPPE DESMAZES / AFP
Adrien Nonjon, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
L’extrême droite ukrainienne est marquée par des divisions idéologiques profondes qui reflètent à leur façon l’histoire du pays.
Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen, alors respectivement cheffe et membre du Front National, lors d'une commémoration à Nice le 15 octobre 2016 après l'attaque terroriste du 14 juillet.
ERIC GAILLARD / POOL / AFP
Depuis quelques années, les femmes d'extrême droite montent au front.
Comment font-elles entendre leurs paroles et comment surfent-elles sur la féminisation du monde politique?
Le chef adjoint (whip) de la minorité républicaine au Sénat, John Thune, entouré (de gauche à droite) du chef de la minorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell (R-KY), et du sénateur républicain Roy Blunt (R-MO), au Capitole, à Washington, DC., le 2 mars 2021.
Samuel Corum/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Otage de la guerre que se livrent en son sein les pro-Trump et ceux qui veulent se démarquer de l’héritage de l’ex-président, le parti républicain semble voué à sombrer dans une surenchère droitière.
Marion Marechal s'appuie sur la stratégie de la ‘métapolitique’, assurant une présence dans le monde médiatique et intellectuel pour rassembler. Ici lors d'une conférence dans le Maryland, États-Unis, 2018.
JIM WATSON / AFP
Se positionnant contre les « anti-racistes » et les « postcoloniaux » de nombreux internautes issus de l’extrême droite française font passer leur message par vidéo, notamment sur YouTube.
Maya Kandel, Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 and Iris Deroeux, The Conversation France
Au moment où Joe Biden prend la succession de Donald Trump, nous dédions cet épisode au « trumpisme » ou comment un homme a durablement transformé la droite américaine et redéfini son électorat.
Le 6 janvier 2021, Donald Trump s'adresse à ses partisans à Washington. Peu après, des milliers d'entre eux entreront de force au Capitole.
Brendan Smialowski/AFP
Le discours que Donald Trump a prononcé le 6 janvier à Washington, et qui a incité ses sympathisants à investir de force le Capitole, constitue un parfait condensé de sa rhétorique populiste.
Le compte Twitter de Donald Trump, qui était celui qui comptait le plus d'abonnés au monde, a été suspendu le 8 janvier 2020.
Justin Sullivan/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Le bannissement de Donald Trump des principaux réseaux sociaux pose de nombreuses questions, à commencer par celle de la responsabilité qu’ont les plates-formes dans les contenus qu’elles hébergent.
Devant le Capitole à Washington, le 6 janvier 2021.
Bill Clark/CQ-Roll Call, Inc via Getty Images
Clayton Besaw, University of Central Florida and Matthew Frank, University of Denver
Techniquement, la prise du Capitole par des partisans de Donald Trump ce 6 janvier n’a pas été un coup d’État. L’événement n’en révèle pas moins la grande fragilité de la démocratie américaine.
Concert de U2 (Vertigo Tour), le 22 septembre 2009.
Bonovox84/Wikimedia
Contre l’usage et la réappropriation politique voire polémique de l’expression « judéo-chrétienne » le terme « abrahamique » offre une alternative apaisée.
Un homme portant un équipement de protection tient une pancarte à l'esthétique nazie indiquant « hygiène totale » lors d'une manifestation contre les mesures visant à freiner la propagation de la Covid-19, à Francfort-sur-l'Oder, le 28 novembre 2020.
Adam Berry/AFP
Anne-Coralie Bonnaire, Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay
En Allemagne, les anti-masques vont jusqu’à se comparer à des résistants au nazisme. L’usage de ces figures historiques est d’autant plus troublant que l’extrême droite connaît une forte progression.
Donald Trump n'a toujours pas officiellement reconnu sa défaite et continue d'affirmer que l'élection a été truquée.
Brendan Smialowski/AFP
Même si la Constitution américaine confère au président des pouvoirs considérables en matière militaire, les contrepoids sont suffisants pour l’empêcher de conserver le pouvoir par la force.
Le président élu Joe Biden s'apprête à prononcer un discours à Wilmington, Delaware, le 25 novembre 2020.
Mark Makela/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Réconcilier les Américains, promouvoir les droits des femmes, reprendre le fil d’une politique étrangère que son prédécesseur a profondément marquée : Joe Biden n’aura pas la tâche aisée.
Marine Le Pen, cheffe de file du Rassemblement National, en chemin pour débattre d'un projet de loi visant a lutte contre l'islamisme radical, le 6 octobre.
Ludovic MARIN / AFP
Les mouvements de droite populiste ne paraissent pas, pour l’heure, tirer profit de la pandémie de coronavirus. L’hypothèse d’un cycle de « déclin » populiste paraît cependant peu probable.
Les partis de droite radicale comme le RN de Marine Le Pen ont traditionnellement bénéficié politiquement des crises économiques.
Ludovic MARIN / AFP
Résultats d’une enquête comparative mesurant l'impact de la crise sanitaire et économique sur les droites national-populistes en Allemagne, France, Italie et Suisse ainsi qu’aux États-Unis.