Le neuromarketing prétend utiliser l’imagerie cérébrale pour décrypter et influencer les comportements de consommation. Mais en l’état actuel des connaissances, son utilité reste à prouver.
Il nous est parfois nécessaire de changer notre comportement habituel. La science peut nous y aider en s’intéressant à la mémoire et aux processus d’apprentissage.
La lecture nous instruit, nous distrait, nous transporte… Et nous transforme, en changeant notre perception d’autrui, littéralement. Pourtant, ses effets sur notre cerveau ont été peu étudiés.
Le cerveau humain est le résultat de millénaires d’évolution biologique qui ont permis l’émergence de la pensée. Le considérer comme une machine est une erreur grave.
Réprimer ses émotions – comme attendu dans les entreprises – perturbe le corps et l’esprit, ce qui peut conduire à de la souffrance et à l’épuisement professionnel.
Si les enfants apprennent à parler par simple immersion dans leur langue, lire, écrire, comprendre ou encore rédiger un texte sont autant d’activités qui ne s’acquièrent que par un long apprentissage.
Les réseaux sociaux sont censés nous connecter avec le monde, et pourtant ils augmentent notre sentiment de solitude, voire de provoquer de l’anxiété et des troubles dépressifs. Que faire ?
Dans les années 50, un psychiatre anglais du nom de John Todd a donné un nom évocateur aux expériences particulières de certains patients qui par moment voyaient le monde se déformer sous leurs yeux.
Quel drôle de phénomène : lorsque nous voyons quelque chose ou quelqu’un de très mignon, nous pouvons avoir tendance à avoir une attitude mignonne… agressive.
La méditation prend une place de plus en plus importante dans la vie quotidienne, au travail et maintenant à l’école. Son entrée dans la sphère éducative est-elle si anodine qu’il y paraît ?
En s’allégeant soi-même, il est possible que nous allégions les autres. Lorsqu’on se prend trop au sérieux à cause de nos frustrations tout notre entourage s’en ressent.
Pourquoi prenons-nous une décision plutôt qu’une autre ? Pourquoi persévérons-nous dans certains cas, et pas dans d’autres ? Retour sur une énigme qui résiste encore aux scientifiques.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)