Le coronavirus n’a pas seulement mis à mal les corps, il a également révélé les faiblesses de nos sociétés. Comment tirer parti de cette épidémie pour renforcer notre démocratie ?
La présence du coronavirus dans la région des Grands Lacs africains ravive des tensions existantes et nuit aux échanges commerciaux, à la démocratie et aux droits de la personne.
L’intelligence artificielle peut-elle jouer un rôle positif dans le fameux « monde d’après » le Covid-19, notamment dans le domaine délicat de la mobilité humaine par-delà les frontières nationales ?
Pour assurer une alimentation durable d’un point de vue environnemental, sanitaire et socio-économique, une profonde transformation des systèmes alimentaires s’impose plus que jamais.
La reprise des activités au Sénégal et dans beaucoup de pays africains rend encore plus urgente la modernisation du secteur informel pour créer les conditions d’une relance « post-Covid-19 ».
Plus de 200 projets devraient voir le jour dans les deux prochaines années. Or pour les réaliser, Québec voudrait modifier ou suspendre à sa guise, par simple règlement, les règles prévues.
Le contexte pandémique est mondial et le télétravail, qui apparaissait impossible pour certaines organisations a été instauré à l’intérieur de trois jours.
Laurence Charton, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Même si certains prénoms peuvent paraître étranges ou saugrenus, ils revêtent toujours une signification et transmettent un message qui s’inscrit dans un contexte et des cultures.
En Europe comme en Asie du Sud-Est, les sociétés humaines ont réagi à la pandémie de Covid-19 en effectuant de nombreux rituels dont une analyse anthropologique permet de mieux comprendre la fonction.
Les risques d’importance majeure, mais dont l’occurrence est faible devraient faire partie de la gestion de risque. En pratique, ce n’est que trop rarement le cas.
Fatoumata Coulibaly, Université des Sciences sociales et de Gestion de Bamako ; Gilles Holder, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), and Laurent Vidal, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La pandémie a vu de nombreux États africains prendre des mesures déterminées pour juguler l’expansion du virus.
Avant la pandémie, l’analyse des politiques différenciées selon le sexe était le credo du gouvernement canadien. Pourtant, la plupart des mesures ont été prises sans égard au genre.
La consommation d’animaux sauvages n’est pas l’apanage de l’Afrique et de l’Asie. Les pays occidentaux importent massivement des espèces exotiques destinées au marché des animaux de compagnie.
Le monde prend des mesures pour se remettre en marche au milieu de la pandémie de Covid-19, mais notre monde post-pandémique sera différent de la façon dont nous avons vécu et travaillé auparavant.
Claire Deligny, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
À l’ère de la pandémie de Covid-19, la visibilité accrue des historiens dans les médias pose la question du rôle de l’histoire et de ceux qui l’étudient.
Les femmes enceintes présentent plus de symptômes anxieux et dépressifs depuis le début de la pandémie et cela pourrait affecter le développement du fœtus.
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Maître de Conférences (HDR) à Sorbonne Université, ISYEB - Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (CNRS, MNHN, SU, EPHE, UA), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)