Le Parti chrétien-démocrate de la chancelière allemande Angela Merkel traverse une crise profonde que la récente démission de sa présidente, Annegret Kramp-Karrenbauer, a encore exacerbée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Antonio Pele, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le gouvernement Bolsonaro n’est pas un pouvoir autoritaire traditionnel ; il relève davantage d’un « fascisme moléculaire » qui manipule les désirs de la population.
Assimiler la démission d’Evo Morales à un coup d’État fomenté par l’extrême droite revient à invisibiliser la crise de représentation que traverse depuis plusieurs années le parti du président.
En s’exprimant dans Valeurs actuelles, le chef de l’état a-t-il tenté de poser les fondations d’un discours plus nourri sur la laïcité ou de séduire un nouveau segment de l’électorat français ?
Les élections régionales qui viennent de se tenir dans trois Länder d’Allemagne de l’Est, marquées par les scores élevés de l’extrême droite, ont reflété le désarroi des anciens « Ossies ».
Alors que l’extrême droite s’impose dans le paysage politique de nombreux pays d’Europe, elle reste réduite à la portion congrue au Portugal. Comment expliquer ce phénomène ?
Les mobilisations indépendantistes en Catalogne constituent une nouvelle occasion pour l’extrême droite d’avancer des pions dans le jeu politique espagnol.
Dans « Bacurau », sombre film d’anticipation, les réalisateurs mettent en scène une rébellion populaire qui prend tout son sens dans le Brésil contemporain.
Les catholiques estiment qu’indépendamment de leurs motivations ou de leurs arguments, c’est ce qu’ils sont qui risque d’être critiqué et dévalué à l’occasion de la manifestation du 6 octobre.
Les élections législatives autrichiennes ont vu une victoire du conservateur Kurz, offrant un modèle politique en résonance avec le souhait de coalition de certains partis de droite en France.
De quoi parle-t-on exactement quand on parle du populisme ? Ce concept n’en dit-il pas davantage sur ceux qui l’emploient que sur ceux qu’ils désignent ?
La nouvelle tête de liste du FPÖ, parti autrichien fondé par d’anciens néonazis, espère convaincre les électeurs ce 29 septembre en prenant un virage écologiste.
Netanyaou a plus que jamais imposé un langage violent, agressif, cultivant le mensonge avec une parfaite désinvolture. Trump ? Oui, mais en plus méthodique.
Les immigrés et descendants d’immigrés résidents des villes périphériques parmi les plus pauvres de l’état sont les principaux supporters de la droite dure, et de Nétanyahou en particulier.
Les réseaux sociaux tiennent manifestement à donner des gages de bonne volonté pour contrebalancer les effets d’une des faces les plus hideuses du cyberespace. En sont-ils seulement capables ?