Financer l’enseignement supérieur par l’impôt, c’est le considérer avant tout comme un service public participant à l’éducation des citoyens. Une vision en mutation aujourd’hui ?
Le mouvement des gilets jaunes a eu du mal à s’imposer dans ce que les médias nomment « les banlieues ». Pourquoi ? Est-ce à dire que ces espaces ne seraient pas politisés ?
La précarité étudiante ne peut se définir seulement par la faiblesse des revenus, selon l’Observatoire national des conditions de vie étudiante. Explications alors que la jeunesse se mobilise.
La mendicité n’est pas une activité passive qui consiste à passer le temps, mais d’une forme active d’engagement qui est souvent réfléchie afin de survivre.
Né en 2012, ce mouvement est parvenu à augmenter le salaire minimum dans plusieurs États et entreprises sans recourir aux grèves classiques. Une inspiration pour le syndicalisme français ?
Depuis peu, nous observons de nouveaux modes opératoires chez les « jeunes de cité » : une maltraitance à l’égard des médecins, des pompiers et surtout des guets-apens. Comment interpréter ces faits ?
La micro-politique de l'autruche, l'indifférence que nous portons à nos semblables dans l'espace public engendre parfois des drames que nous pourrions éviter.
Entrer dans le quotidien des habitants des campagnes en déclin, c’est aussi découvrir la complexité des rapports sociaux qui s’y nouent dans le temps. Extraits de l’ouvrage « Ceux qui restent ».
Manon Ott, Université d’Evry – Université Paris-Saclay
Comment vit-on dans ces anciennes banlieues ouvrières en mutation ? Comment s’y engage, ou non, la jeunesse actuelle ? Un documentaire explore un pan méconnu de la banlieue des Mureaux. Extraits.
Les difficultés socioéconomiques de certains individus ou groupes tiennent plus de leur rapport au monde que d’un manque d’opportunités en tant que tel.
Le projet de réforme de l’assurance-chômage prévoit un nouveau dispositif de taxation pour les contrats courts. Les dernières mesures en la matière n’ont pourtant jamais eu d’effet sur leur volume.
Les chauffeurs d'Uber, l'une des entreprises les plus prospères de l'économie dite collaborative, ferment leurs applications lors d'une journée de protestation, afin de dénoncer leur précarité.
Les aides publiques aux médias, d’un montant très élevé, sont opaques, injustes et peu efficaces. Elles pourraient être réorientées vers la défense et la promotion du journalisme d’intérêt public.
Des chercheurs reviennent sur l’estimation de 250 000 micro-travailleurs français, récemment relayée par la presse. Ils la jugent démesurée et expliquent pourquoi il faut la refuser.