Les raisons pour lesquelles les adolescents consomment de l’alcool sont multiples, et certaines ont trait au fonctionnement de leur cerveau.
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À l’adolescence, certains jeunes développent des comportements qui les rendent susceptibles à l’alcoolisme. Un risque qui dépend de facteurs psychologiques, génétiques et épigénétiques.
Mais que peuvent bien vous raconter vos chiens ?
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Des chiennes qui arrivent à communiquer avec leur maitresse à l’aide d’un clavier, c’est ce que l’on voit dans différentes vidéos sur Internet, mais cela signifie-t-il que les chiens peuvent parler ?
Un travail de recherche en marketing esquisse de manière inattendue des pistes pour faire face psychologiquement à la limitation des libertés fondamentales.
La crise actuelle pourrait in fine favoriser les comportements à risque de la part des individus.
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Une étude montre que le confinement du printemps 2020 a fait chuter l’aversion au risque des Français et que celle-ci n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant-crise.
L’ACT, une thérapie dite « de troisième vague », porte l’attention du patient sur les pensées, émotions, et sensations physiques auxquelles il se heurte.
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Élaborée par des psychologues américains, l’« acceptance and commitment therapy », ou ACT, vise à moins lutter contre les souvenirs douloureux, et à œuvrer pour une vie plus en accord avec ses valeurs.
Il existe trois déterminants de la hausse de la consommation d’alcool dans cette pandémie : la santé, l’économie et le social.
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Une étude montre que c’est l’angoisse liée à la situation économique, plus que le stress généré par le virus, qui augmente le risque de comportements addictifs.
Avec la pandémie, la confiance dans les routines qui régissent les rencontres publiques et dans les compétences d’autrui à réagir de manière rationnelle et prévisible se trouvent bouleversées.
Les jeunes ne sont pas aussi inconscients que leurs représentations médiatiques le laissent penser. (Photo prise au musée du Louvre à Paris, le 14 octobre 2020).
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Irresponsables, égoïstes, propagateurs du coronavirus… Les jeunes ont été largement stigmatisés ces derniers mois. Or, le comportement de quelques-uns ne reflète pas celui de la majorité.
Les enfants aimables et respectueux ont plus de chance de développer une relation de couple durable, tandis que les enfants anxieux risquent de ne pas trouver de partenaires au début de l’âge adulte.
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De nouvelles recherches suggèrent que les comportements dans l’enfance indiquent quels genres de relations sentimentales une personne saura construire.
Les enfants aimables et respectueux ont plus de chance de développer une relation de couple durable, tandis que les enfants anxieux risquent de ne pas trouver de partenaires au début de l’âge adulte.
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De nouvelles recherches suggèrent que les comportements dans l’enfance indiquent quels genres de relations sentimentales une personne saura construire.
Le port du masque, comme le préservatif suscite l'adhésion des individus en fonction de leur compréhension du risque.
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Les travaux sociologiques portant sur le virus du sida invitent à formuler des hypothèses susceptibles d’éclairer certains comportements intrigants ayant cours depuis l’apparition de la Covid-19.
Toucher un fruit reste un bon moyen de s’assurer de sa qualité, quitte parfois à le salir ou l’abîmer.
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Le respect des consignes sanitaires varie selon que l’on estime une maladie proche ou distante de soi. Un paramètre dont on devrait tenir compte dans la mise en œuvre des politiques de prévention.
La rémiz penduline et son nid très très douillet.
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Une étude relève une hausse sensible du nombre de personnes buvant seules pendant le confinement, notamment chez les hommes à revenus modestes et sans-emploi.
Une cycliste circule à Saint-Lambert, sur la Rive-Sud de Montréal. Pour que ces comportements deviennent durables, il faut veiller à ce que le contexte de leur mise en œuvre soit maintenu après la crise et que les bénéfices qui y sont associés ne diminuent pas avec le temps.
La crise de la Covid-19 révèle qu’il est possible d’adopter à grande échelle des comportements plus responsables sur les plans environnementaux et sociaux. Mais ces comportements vont-ils perdurer?
Les conséquences des crises se mesurent dans le bouleversement des comportements à l’échelle de sociétés entières.
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Les mécanismes psychologiques qui se déclenchent face à l’anxiété se traduisent dans les actes par plus d’achats ou encore un moindre attrait pour les produits nouveaux.
Jean-Marc Monteil, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
La pandémie qui nous confine affecte nos comportements, au point parfois de nous faire perdre ce que la littérature scientifique nomme le « sentiment de contrôle ».
Quelles seront les conséquences de la crise sur la sociabilité ?
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La peur du virus qui maintient les corps à distance, appuyée par les directives gouvernementales, va-t-elle bouleverser nos vies sociales ?
Un coureur dans un parc de Seattle le 10 avril. Obéir ou non aux ordres de confinement et de distanciation sociale s'explique par la réactance psychologique.
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Dans les sociétés où l’individualisme est valorisé, comme en Amérique du Nord, le risque de réactance est plus élevé car l’individu présuppose que sa liberté prime sur celle de la collectivité.