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Articles sur conflit israélo-palestinien

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Affiche représentant Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah tué par Israël au Liban, avec un message de condoléances signé par le président syrien Bachar Al-Assad, à Damas, le 1er octobre 2024. Pour l’heure, le régime syrien n’est pas allé très loin dans l’appui à son vieil allié du Hezbollah. Louai Beshara/AFP

La prudence de la Syrie face à l’embrasement du Moyen-Orient

Le régime de Damas, déterminé à revenir au sein du concert des nations arabes, ne se risque pas pour autant à s’impliquer pleinement dans la guerre au Liban et à Gaza.
Yahya Sinouar, chef du mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza, serre la main d’un combattant masqué des Brigades Qassam du Hamas lors d’un rassemblement marquant le 35e anniversaire de la fondation du groupe, dans la ville de Gaza, le 14 décembre 2022. Mohammed Abed/AFP

Retour sur le 7 octobre 2023 : la barbarie du Hamas comme arme de guerre

On a souvent attribué la sauvagerie des massacres du 7 Octobre à la haine ressentie par les combattants du Hamas envers Israël. Or cette violence spectaculaire a sans doute été mûrement réfléchie.
Des Iraniens brûlent un drapeau israélien lors d’un rassemblement à Téhéran le 2 octobre 2024, au lendemain du tir de 180 missiles iraniens sur Israël. Atta Kenare/AFP

Frappes contre Israël : le pari risqué de l’Iran

L’Iran ne pouvait pas rester sur la touche, laissant ses alliés le Hezbollah et le Hamas livrer bataille à Israël.
Des personnes inspectent les décombres des bâtiments qui ont été rasés le 27 septembre par les frappes israéliennes qui ont visé et tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans le quartier de Haret Hreik dans la banlieue sud de Beyrouth, le 29 septembre 2024. AFP

Le Liban et le Hezbollah après Nasrallah

Un million de déplacés internes, des centaines de morts et des destructions majeures… mais aussi un affaiblissement peut-être définitif du Hezbollah. C’est le bilan de ces derniers jours. Analyse.
Un député du Parti sioniste religieux, Tzvi Sukkot (à gauche), se confronte à un manifestant palestinien à Huwara, en Cisjordanie, le 3 mars 2023, Jaafar Ashtiyeh/AFP

Moyen-Orient : la colère au cœur d’une violence inextinguible

L’analyse des conflits à travers la froide logique géopolitique tend parfois à sous-estimer l’importance des émotions des parties prenantes, au premier rang desquelles la colère.
Kamala Harris, en sa qualité de vice-présidente des États-Unis, rencontre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou à Washington le 25 juillet 2024. Lors de cette rencontre, elle lui a dit qu’il était temps qu’un cessez-le-feu soit conclu à Gaza. Trump ne demande pas de cessez-le-feu, mais tous deux disent souhaiter une fin rapide de la guerre et insistent sur le lien stratégique entre les États-Unis et Israël. Roberto Schmidt/AFP

Harris et Trump sur le dossier israélo-palestinien : nuances dans la forme, convergences sur le fond

La minorité pro-palestinienne au sein du Parti démocrate ne pèse pas beaucoup sur Kamala Harris. Donald Trump, lui, veut mobiliser l’électorat évangélique. Au final, tous deux appuient Israël.
Cette photo prise le 15 avril 2024 montre une vue d’une immense affiche représentant des missiles balistiques iraniens avec un texte en arabe indiquant « la promesse de [la personne] honnête » et en persan « Israël est plus faible qu’une toile d’araignée », sur la place Valiasr, dans le centre de Téhéran. Atta Kenare/AFP

Israël-Hezbollah-Iran : l’engrenage infernal ?

Au vu du maximalisme du gouvernement Nétanyahou d’une part, et de la détermination du Hezbollah et de son protecteur iranien d’autre part, la situation paraît plus explosive que jamais.
Le portrait d’Ismaïl Haniyeh brandi lors d’un rassemblement à l’université de Téhéran le 31 juillet 2024. L’Iran a décrété trois jours de deuil après l’assassinat du chef de Hamas sur son territoire et assuré que cet acte « ne resterait pas sans réponse ». AFP

L’assassinat du chef du Hamas à Téhéran : vers une escalade de la violence au Proche-Orient ?

L’Iran pourrait effectuer des représailles directes contre Israël ou confier cette tâche à ses alliés, à commencer par le Hezbollah libanais.
Les résultats d'un vote sur une résolution demandant au Conseil de sécurité des Nations unies de soutenir l'adhésion à part entière de la Palestine à l'ONU sont affichés lors d'une session spéciale de l'Assemblée générale, au siège de l'ONU à New York, le 10 mai 2024. Charly Triballeau/AFP

La reconnaissance de l’État de Palestine : quel État, pour quelle Palestine ?

L’État de Palestine est reconnu par la plus grande partie de la communauté internationale, mais ses contours restent terriblement flous.
Les ailes du néant. Reflets de mains. Paris. Jeanne Menjoulet/Flickr

Au cœur de la campagne : la question juive

La question juive et l’antisémitisme sont au cœur de la campagne électorale des législatives, en même temps que les autres racismes en sont presque évacués.
Une pancarte en soutien aux femmes et aux personnes trans et autochtones est brandie dans le campement pro-palestinien de l'Université McGill, le 6 juin 2024. La Presse canadienne/Graham Hughes

Islamisme et droits des trans, même combat ? Le grand paradoxe des campements pro-palestiniens

Comment expliquer l’alliance inattendue entre les défenseurs des droits des femmes et des trans et ceux d’une Palestine dirigée par le Hamas ? C’est tout le paradoxe des campements pro-palestiniens.
Les drapeaux de la Norvège, de l’Afrique du Sud, de l’Irlande et de l’Espagne entourent celui de la Palestine à l’entrée de la ville de Ramallah, en Cisjordanie, le 28 mai 2024. Le 28 mai, la Norvège, l’Espagne et l’Irlande ont reconnu l’État de Palestine. Zain Jaafar/AFP

Des reconnaissances de l’État de Palestine qui isolent encore plus Israël

Ce sont désormais 147 États de l’ONU qui reconnaissent la Palestine. Ces reconnaissances sont d’un ordre avant tout symbolique, mais portent un coup à la position d’Israël sur la scène internationale.
Benny Gantz (à droite), leader d'un parti d'opposition de centre gauche, a accepté de rejoindre le cabinet d'urgence de Benyamin Nétanyahou (à gauche) où il siège aux côtés du ministre de la Défense Yoav Gallant (au centre). Abir Sultan/AFP

Quand l’opposition politique israélienne « oublie » son rôle

Avant le 7 octobre 2023, l’opposition de centre et de gauche était vent debout contre Benyamin Nétanyahou. Cela a radicalement changé après le massacre commis par le Hamas.
Le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, vient de demander à la Cour d'émettre cinq mandats d'arrêt. Cela ne signifie pas automatiquement que ces cinq mandats d’arrêt seront émis. Dimitar Dilkoff/AFP

Conflit israélo-palestinien : la demande de mandats d’arrêt par le procureur de la CPI peut-elle être un tournant ?

Benyamin Nétanyahou, son ministre de la Défense et trois leaders du Hamas vont-ils faire l’objet de mandats d’arrêt de la CPI ? C’est en tout cas ce que souhaite le procureur de la Cour.
Des manifestants pro-palestiniens dansent dans la rue près des bureaux administratifs de l'Université George Washington le 9 mai 2024. KENT NISHIMURA/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/Getty Images via AFP

Mobilisations pour Gaza : sur les campus américains, où en est la liberté de manifester ?

Entre les États-Unis et la France, les modes de gouvernance des universités sont très différents. Ces écarts de modèles ont un impact sur les mobilisations actuelles contre la guerre à Gaza.
Des manifestantes tiennent des pancartes sur lesquelles on peut lire «Antisémitisme = République en danger» lors d'une manifestation contre l'antisémitisme à Marseille, le 12 novembre 2023. Clément Mahoudeau/AFP

Sémites, antisémites : de quoi parle-t-on ?

Dans les dernières décennies du XIXᵉ siècle, dire que les Juifs européens étaient des Sémites revenait à les désigner comme étrangers.

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